7Avec une superficie de 27 000 km 2, la pĂ©ninsule se dĂ©compose en trois sous-ensembles gĂ©omorphologiques et chacun d’eux s ’insĂšre dans une entitĂ© gĂ©ographique plus vaste. Au sud, l’étroite bande littorale nommĂ©e par Reclus la CrimĂ©e montueuse est une chaĂźne de montagnes calcaires culminant Ă  1 545 mĂštres d’altitude et elle domine la mer Noire par une cĂŽte escarpĂ©e
Mots Croisés > Questions > Définition 77 DE LA SURFACE DE LA RUSSIE 77 DE LA SURFACE DE LA RUSSIE Définition Entrez la longueur et les lettres Nouvelle proposition de solution pour "77 DE LA SURFACE DE LA RUSSIE" Pas de bonne réponse ? Ici vous pouvez proposer une autre solution. 6 + 9 Veuillez vérifier à nouveau vos entrées
Lßle de la solitude sur la carte en rouge. L' ßle de la Solitude ou ßle Ouedineniya est une ßle russe située dans la mer de Kara, entre la Nouvelle-Zemble et la Terre du Nord. Elle porte ce nom car elle est fortement isolée (l'ßle la plus proche est à 150 km). L'ßle a été découverte par le capitaine norvégien Edvard Holm
A soixante annĂ©es de l'Ă©clatement de la RĂ©volution russe qui fit tressaillir le monde au point que la bourgeoisie mondiale vit vaciller sa domination sĂ©culaire, les dĂ©filĂ©s d'ouvriers en armes sur la place Rouge se sont transformĂ©s en parades insolentes de troupes marchant au pas cadencĂ©s sous le regard satisfait de leurs maĂźtres. La bourgeoisie russe peut contempler d'un oeil tranquille son armement de mort, auprĂšs du quel celui utilisĂ© pendant les deux carnages impĂ©rialistes fait maintenant figure de jouet inoffensif. Elle peut baptiser des mots d'octobre" et de "communisme" son arsenal infernal et embellir de citations de LĂ©nine sa hideuse domination de classe, pour conjurer le spectre du communisme. Jamais Ă  soixante ans d'Octobre 1917, la puissance de la classe dominante russe n'a semblĂ© si assurĂ©e Ă  l'ombre de ses chars dernier cri et de ses missiles ultra perfectionnĂ©s. Mais le spectre du communisme ressurgit de nouveau. Mondialement, le systĂšme capitaliste est entrĂ© en crise, posant les bases objectives de la rĂ©volution prolĂ©tarienne. Si le prolĂ©tariat russe a Ă©tĂ© broyĂ© par la plus fĂ©roce contre-rĂ©volution engendrĂ©e par le capitalisme, sous les bottes de la classe dominante russe, le sous-sol Ă©conomique de sa propre domination se fait toujours plus fragile. C'est de la crise du capitalisme et d'elle seule, que surgira de nouveau demain, aprĂšs cinquante ans de silence de mort, le prolĂ©tariat russe, entraĂźnĂ© dans la tourmente rĂ©volutionnaire par la masse des ouvriers d'Europe de l'Est. Nous nous proposons dans un premier article de dĂ©montrer l'existence de la crise gĂ©nĂ©rale du capitalisme en Europe de l'Est, en montrant quelles en sont les formes particuliĂšres au sein du bloc russe. Parler de crise Ă©conomique dans le bloc russe, c'est-Ă -dire montrer la similitude des contra dictions qui minent le capitalisme dĂ©cadent tant Ă  l'Est qu'Ă  l'Ouest, semblait, il y a encore quelques annĂ©es, susciter l'incrĂ©dulitĂ© ou les sarcasmes des dĂ©fenseurs patentĂ©s des "pays socialistes". On pu voir aussi des reprĂ©sentants respectables de la bourgeoisie libĂ©rale Ă  l'Ouest s'extasier - alors que la crise Ă©tait dĂ©jĂ  lĂ  dans le reste du monde - sur l'apparente absence de phĂ©nomĂšnes de crise Ă©conomique dans ces pays chute du taux de croissance, inflation, chĂŽmage. Quelle merveille de trouver enfin un oasis de calme Ă©conomique, avec de belles courbes rĂ©guliĂšres de croissance ! Et puis, pensez donc, la Russie semi fĂ©odale d'avant 1914 dĂ©passait maintenant les USA par sa production d'acier! Il y avait de quoi susciter l'admiration envieuse de bien des capitalistes occidentaux et les cris de jubilation des PC et de leurs "soutiens critiques" trotskystes. Mais l'admiration et la jubilation se sont vite changĂ©es en InquiĂ©tude la crise Ă©conomique est bien prĂ©sente lĂ  aussi ! Il n'y a pas de potion magique dans le chaudron de sorciĂšres du capitalisme pourrissant, qu'elle se nomme "planification socialiste" ou "pensĂ©e de Mao". Aujourd'hui, dans la presse mondiale se multi plient les articles mettant en Ă©vidence les phĂ©nomĂšnes de crise Ă©conomique dans le bloc russe. Bien mieux les reprĂ©sentants du capital d'Europe de l'Est vont Ă  Canossa quĂ©mander Ă  l'Ouest, crĂ©dits sur crĂ©dits auprĂšs des grandes banques internationales[1]. Et les trotskystes qui jouaient les seconds violons sur l'air du "dĂ©veloppement ininterrompu des forces productives" Ă  l'Est se sont faits soudainement muets dans leur "soutien critique" de la "sociĂ©tĂ© de transition socialiste". On prĂ©fĂšre maintenant faire le battage autour des slogans d'"opposition dĂ©mocratique". Quelles sont donc les raisons qui ont rĂ©duit Ă  un couac tout ce beau concert d'Ă©loges de la "planification socialiste" ? Pour le comprendre, Il est nĂ©cessaire de remonter dans le passĂ©, ce lui de l'apparition des plans quinquennaux au cours des annĂ©es 30. LA PRETENDUE "IMPERMEABILITE" DU BLOC RUSSE A LA CRISE 1 La "planification" de la dĂ©cadence Le grand mythe de la bourgeoisie russe depuis la pĂ©riode stalinienne des plans quinquennaux est celui de 1'"ImpermĂ©abilitĂ©" du monde "socialiste" Ă  la crise. Il est repris Ă  qui mieux mieux par tous les partis staliniens et trotskystes du mon de quand il s'agit de prĂ©coniser des mesures "radicales" de nationalisations et "d'expropriation du capital privĂ©". Ainsi, selon eux, les pays de l'Est comme tous les pays du tiers-monde, oĂč l'Ă©tatisation de l'Ă©conomie est plus ou moins achevĂ©e, constitueraient un "monde Ă  part" dans le monde capitaliste. La suppression juridique des titres de propriĂ©tĂ© serait un label de socialisme "pur" ou "dĂ© gĂ©nĂ©rĂ©". Pour les trotskystes, le seul point faible de ce "nouveau systĂšme" rĂ©siderait uniquement dans le parasitisme de la "bureaucratie" qui use rait et abuserait pour son profit personnel de la "propriĂ©tĂ© socialiste". Il suffirait que les ouvriers chassent la "bureaucratie" par une rĂ©volution "politique" ne touchant pas Ă  la base Ă©conomique "socialiste" pour que la "rĂ©volution trahie" soit enfin achevĂ©e. Alors les ouvriers pourraient goĂ»ter aux bienfaits de la "propriĂ©tĂ© socialiste". Que pour les trotskystes, la Russie soit un "Etat ouvrier" se dĂ©montre dans le miracle Ă©conomique des annĂ©es 30. VoilĂ , selon Trotsky, quel est ce "miracle" du "socialisme" "Le socialisme a dĂ©montrĂ© son droit Ă  la victoire, non dans les pays du capital mais dans une arĂšne Ă©conomique qui recouvre le sixiĂšme de la surface du globe ; non dans le langage de la dialectique', mais dans celui du fer, du ciment et de I'Ă©lectricitĂ©". La RĂ©volution Trahie Une telle assertion ferait aujourd'hui sourire si l'on ne savait ce que recouvre dans la rĂ©alitĂ© ce "droit Ă  la victoire". Plus de dix millions de morts pendant les premiers plans quinquennaux[2], le prolĂ©tariat rĂ©duit Ă  un Ă©tat de misĂšre physiologique digne des pires horreurs de l'accumulation primitive du capital au dĂ©but du 19Ăšme siĂšcle, la marche vers la guerre ImpĂ©rialiste au prix de 17 millions de victimes, voilĂ  le bilan de ce "brillant dĂ©veloppement" sur le quel s'enthousiasmait Trotsky. Jamais dans le capitalisme, la dialectique du fer, du ciment et de l'Ă©lectricitĂ©" n'a autant recouvert la barbarie du capitalisme Ă©crite dans la dialectique rĂ©el le du fer et du sang. Que la croissance des indices de production n'ait jamais Ă©tĂ© un signe du socialisme est une vĂ©ritĂ© qu'il faut de nouveau rĂ©pĂ©ter aprĂšs cinquante annĂ©es de mensonges stalinien et trotskyste. Pour le marxisme, plus s'Ă©lĂšvent les Indices de production, plus se dĂ©veloppe la paupĂ©risation relative et absolue de la classe ouvriĂšre astreinte Ă  vendre une force de travail toujours plus dĂ©valorisĂ©e au fur et Ă  mesure que s'accĂ©lĂšre l'accumulation. Lorsque les trotskystes parlent de croissance des forces productives, ils "oublient" de dire que dans la vraie pĂ©riode de transition socialiste - c'est Ă  dire quand le prolĂ©tariat exerce sa dictature Ă  l'intĂ©rieur d'un systĂšme qui reste encore capitaliste - la croissance des indices de production pour au tant qu'on puisse alors parler d'Indices se traduit par le dĂ©veloppement absolu et relatif du secteur des biens de consommation. Le secteur des biens de production au contraire est par excellence celui du capitalisme et de son cycle infernal d'accumulation. Le socialisme n'est pas proportionnel au dĂ©veloppement de ce secteur il lui est inversement proportionnel. La condition mĂȘme du communisme, c'est que toute la production soit orientĂ©e vers la satisfaction des besoins sociaux, mĂȘme si on doit dĂ©falquer un fonds d'accumulation rĂ©servĂ© Ă  la reproduction sociale Ă©largie. Mais plus qu'un simple rapport arithmĂ©tique entre les deux secteurs, c'est la croissance exponentielle de la consommation qui marque le chemin suivi par le prolĂ©tariat pour substituer Ă  la valeur d'Ă©change, la valeur d'u sage, jusqu'Ă  disparition de toute loi de la valeur. Alors que la rĂ©volution prolĂ©tarienne d'Octobre avait tĂąchĂ© - avec les moyens limitĂ©s lĂ©guĂ©s par la guerre civile - de dĂ©velopper le secteur des biens de consommation, la dialectique "du fer, du ciment et de l'Ă©lectricitĂ©" allait signifier l'inversion des proportions entre les deux secteurs au profit du premier, sans que les chiffres montrent en absolu une croissance des biens de consommation, bien au contraire. Ainsi, en 1927-28 avant les plans quinquennaux, le rapport entre secteur biens de consommation et secteur moyens de production Ă©tait encore en pourcentage encore de 67,2 % contre 32,8ÂŁ. En 1932, aprĂšs le premier plan quinquennal- on avait dĂ©jĂ  46,7 % et 55,3 %. A la veille de la guerre, le secteur des biens de consommation ne reprĂ©sentait plus que 25 % de la production globale. C'est une proportion qui est restĂ©e rigoureusement identique depuis[3] voir tableau ci-dessous. AnnĂ©e Production industrielle globale Moyens de production Moyens de consommation 1917 100 38,1 1922 100 32,0 68 1928 100 39,5 60,5 1945 100 74,9 1950 100 31,2 1960 100 72,5 27,5 1964 100 I960 100 73,8 26,2 1971 100 73,4 Tableau 1 Poids respectif des moyens de production et des moyens de consommation dans le volume global de la production industrielle en pourcentage FMI-[1]. Ce droit "Ă  la victoire" du capitalisme en Russie assumĂ© par le triomphe de la plus fĂ©roce contre-rĂ©volution de l'histoire se traduisit dans le langage des chiffres cher Ă  Trotsky par une chute de 50 % du salaire rĂ©el entre 1926 et 1936[4] par un triplement de la productivitĂ© du travail, autrement dit du taux d'exploitation. Avec un tel rythme d'exploitation l'URSS pouvait Ă©videmment dĂ©passer la production industrielle de l'Angle terre et rejoindre bientĂŽt celle de l'Allemagne Ă  la veille de la guerre. Les "bordiguistes"[5] ont voulu voir dans la croissance dĂ©mesurĂ©e des indices de production lourde la preuve du dĂ©veloppement d'un capitalisme "juvĂ©nile", qui du fait de sa "jeunesse" ne pouvait ĂȘtre encore contaminĂ© par la crise gĂ©nĂ©rale du capitalisme qui entraĂźnait dans l'effondrement l'ensemble du monde. Bref, comme pour les trotskystes - l'URSS aurait constituĂ© un "cas particulier" pour les bordiguistes. Pourtant dans un tableau reproduit dans un rĂ©cent Programme Communiste voir tableau plus loin, il apparaĂźt trĂšs clairement que le taux de croissance le plus Ă©levĂ© n'est pas celui de la pĂ©riode des plans quinquennaux mais celui de la pĂ©riode de reconstruction 1922-28 + 23%, la baisse du taux de croissance annuel qui se manifeste pendant les plans quinquennaux - donc en pleine crise mondiale - suit le rythme du ralentissement mondial du taux d'accumulation de puis le dĂ©but du siĂšcle[6] 1929-32 + 19,3 % ; 1933-37 + 17,1% ; 1938-40 + 13,2 %. Cette chute comme on le verra par la suite va se pour suivre de plus belle jusqu'Ă  aujourd'hui. TAUX DE CROISSANCE DE L'INDUSTRIE RUSSE PĂ©riodes Plan Taux de croissance annuel moyen 1922-28 Avant les plans 23% 1929-1932 1er plan 19,3% 1933-37 2Ăšme plan 17,1% 1938-40 3Ăšme plan 13 ,2% 1941-45 Guerre - 1946-50 4Ăšme plan 13,5% 1951-55 5Ăšme plan 13% 1956-60 6Ăšme plan 10,4% 1961-65 7Ăšme plan plan septennal 8,6% 1966-70 8Ăšme plan 8,4% 1971-75 9Ăšme plan 7,4% 1976-80 10Ăšme plan 6,5% Sources ; calculs effectuĂ©s d'aprĂšs les donnĂ©es de Narodnoe Khoziaistvo SSSR, annĂ©es diverses. Comment s'explique en dĂ©pit de cette baisse, l'existence d'un fort taux de croissance, qui tranche avec ceux plus faibles des grands pays industrialisĂ©s ? Les staliniens en ont fait la preuve irrĂ©futable de la "supĂ©rioritĂ© de la planification socialiste sous le capitalisme". Ils "oublient" une petite chose l'URSS partait d'extrĂȘmement bas elle ne retrouve sa production de 1913 qu'en 1928 et se trouvait dans la nĂ©cessitĂ©, sous peine de stagnation, de renforcer ou du moins de maintenir sa production par rapport Ă  la production mondiale le ralentissement immĂ©diat et rapide du taux d'accumulation ne signifie pas que la Russie aurait rĂ©ussi, par une "accumulation primitive", Ă  atteindre une vitesse de "croisiĂšre" comme les grands pays capitalistes Ă  la fin du 19Ăšme siĂšcle. A la diffĂ©rence de ces pays qui connurent une pĂ©riode d'accumulation assez longue avec une croissance rĂ©guliĂšre de leur taux d'accumulation, pour la Russie, le chiffre le plus Ă©levĂ© atteint s'Ă©tend - d'aprĂšs les statistiques sur une pĂ©riode de 4 ans. Et si l'on ne tient pas compte de ces chiffres, on doit les rĂ©duire d'au moins 30 ou 40%.[7] L'URSS en dĂ©pit de toutes les mesures de capitalisme d'Etat qui sont prises Ă  une vitesse accĂ©lĂ©rĂ©e n'Ă©chappe pas Ă  la crise gĂ©nĂ©rale qui suit le krach de 1929. Ces chiffres officiels qui sont bien Ă©videmment "gonflĂ©s" par les Ă©conomistes russes traduisent mal la rĂ©alitĂ© de la chute de la production, ils montrent que la crise en Russie est bien prĂ©sente et suit un rythme identique au reste du monde capitaliste. Pourquoi alors l'autarcie ? La Russie aurait-elle pu Ă©chapper Ă  la banqueroute de 1929 ? Or la Russie se trouve dans la mĂȘme situation que les autres pays dans l'impossibilitĂ© d'exporter et d'importer en raison de son insolvabilitĂ©, le commerce extĂ©rieur russe est tombĂ© Ă  la fin des annĂ©es 30 au tiers du chiffre de 1913 tableau ci-dessous Pour financer les plans quinquennaux, l'inflation fait ravage de 1928 Ă  1933 la masse monĂ©taire passera de 1,7 milliards de roubles Ă  8 milliards. En 1935, le rouble du ĂȘtre dĂ©valuĂ© de 80%.cf. Bordiga Structure Ă©conomique et sociale de la Russie. La relative impermĂ©abilitĂ© des frontiĂšres russes au commerce mondial se traduisait donc par une banqueroute totale au mĂȘme titre que celle de l'Ă©conomie hitlĂ©rienne Ă  la veille de la guerre. Mais, diront les trotskystes et les staliniens, la part de la Russie dans la production mondiale s'est Ă©levĂ©e entre 1913 et 1938 de 4% Ă  12%, les indices de production se sont multipliĂ©s par 3 ou 4 en quelques annĂ©es. La raison de ce "miracle" ? Au mĂȘme titre que l'Allemagne, qui elle aussi accomplissait de tels miracles, la Russie "socialiste" se lançait Ă  corps perdu dans l'Ă©conomie de guerre. Au "des canons, pas de beurre" de Göring, correspondait la prosaĂŻque constatation de Staline "On ne peut Ă  la fois fabriquer des casseroles et des canons". Point culminant de la crise gĂ©nĂ©rale du capitalisme ne trouvant plus d'autre solution que la guerre de brigandage impĂ©rialiste, l'Ă©conomie de guerre fut le seul secteur qui pouvait ĂȘtre planifiĂ©. GrĂące aux plans quinquennaux et sur tout Ă  la mobilisation permanente par la terreur de toute la population, dĂšs 1935-39 les dĂ©penses militaires soviĂ©tiques atteignaient les deux tiers de l'effort allemand ; en 1940, elles correspondaient aux 5/6 de ce dernier; en 1941, l'URSS produisait dĂ©jĂ  pour 8,5 milliards de dollars d'armements contre 6 Ă  l'Allemagne, cf. Le Conflit du SiĂšcle de Fritz Sternberg. Le dĂ©veloppement de la SibĂ©rie oĂč se trouvaient toutes les matiĂšres premiĂšres nĂ©cessaires Ă  la guerre, par la constitution de gigantesques camps de travaux forcĂ©s, la mise en place de toute une infrastructure routiĂšre, l'accroisse ment de la productivitĂ© par le stakhanovisme furent autant de jalons dans la transformation de toute l'Ă©conomie russe en Ă©conomie de guerre. La supĂ©rioritĂ© de l'Ă©conomie de guerre russe sur celle de l'Allemagne tient surtout au facteur "nombre" 170 millions d'habitants contre 70 en Allemagne mais aussi Ă  une mobilisation de la force de travail plus intense, une rĂ©duction plus draconienne encore du secteur des biens de consommation mais surtout la destruction du secteur prĂ©capitaliste des campagnes russes sera un facteur dĂ©cisif dans la mise en place de cette Ă©conomie de guerre par la collectivisation,les campagnes cessent de vivre en unitĂ©s closes auto consommant les valeurs d'usage, elles fournissent, par un fantastique pillage de l'Etat capitaliste, des dĂ©bouchĂ©s Ă  l'industrie russe bĂątiments et machines agricoles. Elles fournissent un marchĂ© extra capitaliste et une avance de plusieurs millions de tonnes de vivres prĂȘtes Ă  nourrir les millions d'hommes mobilisĂ©s dans l'ArmĂ©e Rouge [8]. On sait comment, aprĂšs 1945, l'URSS devait se rembourser des faux frais que constituent pour le capital les industries d'armement par le pillage systĂ©matiquement organisĂ© des nouveaux "pays frĂšres" tombĂ©s sous sa domination dĂ©montage d'usines allemandes transportĂ©es en Russie avec leurs ouvriers, rĂ©quisitions forcĂ©es, Ă©change inĂ©gal au dessous de leur va leur pour les achats russes, au dessus de leur valeur pour les ventes de marchandises produites par le "grand frĂšre socialiste". C'est cette politique typiquement impĂ©rialiste qui permĂźt Ă  la Russie dĂšs 1949 de retrouver son niveau de production de 1940. La planification de l'Ă©conomie de guerre se continuerait par la planification du pillage des pays du C0MEC0N, mis en place pendant la "guerre froide". 2 La crise permanente du bloc russe Aujourd'hui, les trotskystes continuent Ăš argumenter que l'URSS Ă©chappe Ă  la crise du capitalisme ; la preuve entre 1950 et 1973, la production industrielle russe passe de 30% Ă  75% de celle des USA; dans la mĂȘme pĂ©riode son rĂȘve nu national est passĂ© de 31% Ă  66% de celui de "l'oncle Sam". L'URSS, sauf de façon indirecte au travers de ses Ă©changes internationaux, se rait donc condamnĂ©e Ă  se situer en dehors de toute crise gĂ©nĂ©rale. Pour les "bordiguistes", c'est seulement maintenant que les capitalismes "juvĂ©niles" de l'Est connaĂźtraient la crise en entrant dans un cycle "classique" de vieillissement. La pĂ©riode d'aprĂšs-guerre aurait-elle signifiĂ© pour le capitalisme d'Etat dans le bloc russe une rĂ©solution de sa crise ? Pour rĂ©pondre, on ne peut sĂ©parer le cas "russe" du "cas" capitalisme mondial. Plus que toute autre Ă©conomie, Ă  l'exception du tiers-monde, celle du bloc russe vĂ©rifie pleinement la crise permanente du capitalisme depuis 1914, la crise ouverte en Ă©tant le point culminant. Tout d'abord, l'Etat prend de plus en plus en charge l'ensemble d'une Ă©conomie dans l'impossibilitĂ© de trouver des dĂ©bouchĂ©s extĂ©rieurs sur un marchĂ© dĂ©jĂ  con contrĂŽlĂ© par quelques capitaux. Dans l'impossibilitĂ© d'accumuler de façon organique du capital productif, l'Ă©conomie russe a converti toute son Ă©conomie en Ă©conomie de guerre. Mais l'Ă©conomie d'armements est absolument improductive pour le capital national. Elle n'est une "solution" provisoire que pour autant que le capital national reporte le prix de ces "faux frais" du capital sur les pays voisins ou de son bloc. L'industrie d'armements ne produit pas un capital additionnel mais une destruction du capital accumulĂ©. C'est la main mise impĂ©rialiste sur les pays du C0MEC0N qui lui a permis de trouver des dĂ©bouchĂ©s Ă  sa production marchande. C'est une telle politique qui a permis pendant la reconstruction du second aprĂšs-guerre Ă  la Russie d'Ă©chapper dans une certaine me sure aux convulsions du tiers-monde. Mais, loin de s'arrĂȘter Ă  la faveur d'un traitĂ© de"paix", l'effort de guerre russe n'a fait que se pour suivre de façon permanente au lendemain de la guerre alimentĂ© en cela non seulement par les luttes de "libĂ©ration nationale" et par la guerre de CorĂ©e mais par le maintien de "l'Ă©quilibre de la terreur" avec le bloc amĂ©ricain. La cri se permanente n'a pas Ă©tĂ© rĂ©solue, elle a Ă©tĂ© reportĂ©e Ă  une Ă©chelle toujours plus Ă©largie sur l'arĂšne mondiale. Dans le bloc russe de mĂȘme que l'Etat totalitaire a absorbĂ© l'ensemble de la vie civile, l'Ă©conomie de guerre a absorbĂ© l'ensemble de l'Ă©conomie, crĂ©ant une vĂ©ritable symbiose entre secteur "civil" et secteur"militaire"de la production. A aucun moment depuis la guerre de CorĂ©e, la place des dĂ©penses d'armements n'est tombĂ©e au dessous de 10-15% de son PNB 6% aux USA[9]. L'intĂ©gration des pays "frĂšres" dans le grand sabbat d'armements, va signifier un poids accru dans leur Ă©conomie de ce secteur purement improductif entre 4 et 6% selon les pays, qui ont en prime l'entretien des troupes russes prĂ©sentes sur leur sol, le plus dĂ©favorisĂ© Ă©tant la RDA. DeuxiĂšme puissance impĂ©rialiste mais puissance Ă©conomique de 3Ăšme ou 4Ăšme rang, l'URSS a dĂ» toujours plus rouler son capital accumulĂ© dans le tonneau sans fond de l'industrie d'armements. A la diffĂ©rence du Japon oĂč -le secteur d'armements est bien plus rĂ©duit et qui a donc pu dĂ©velopper son capital productif avec de prodigieux chiffres de croissance, la caractĂ©ristique de l'URSS est de nouveau aprĂšs la guerre une diminution de son taux de croissance mais plus rapide encore le taux de croissance a voisine 13% de 1945 a 1955 reconstruction et guerre de CorĂ©e qui fournit un dĂ©bouchĂ© momentanĂ© Ă  la production d'armements; ensuite chute continuelle de 1956 Ă  aujourd'hui avec une pointe d'accĂ©lĂ©ration depuis 1960-64 puis 1971 8% seulement. Les chiffres donnĂ©s sont ce qu'il y a d'officiel. Si nous prenons les chiffres officieux, tels qu'ils apparaissent dans les travaux Ă  diffusion restreinte des Ă©conomistes russes[10], la dĂ©croissance du taux de "croissance" est encore plus prononcĂ©e de 1950 Ă  1960 = 10% environ ; 7% seulement de 1960 Ă  70. Les rĂ©sultats du dernier plan quinquennal 1971-76 ne donneraient plus que 4,5%, donc chiffre identique peu ou prou Ă  ceux des pays de l'OCDE. ParallĂšlement, on constate des rĂ©cessions de plus en plus fortes en URSS en 1953, en 1957, en 1963, qui ont pour effet d'entraĂźner un changement immĂ©diat de personnel dirigeant. La situation est encore plus grave dans les pays satellites. Sauf en Bulgarie et RDA qui servent de "vitrine" du "bien-ĂȘtre socialiste", pour les autres pays, l'indice du revenu national par habitant ne cesse de baisser de 1950 Ă  1970; pour la TchĂ©coslovaquie, l'indice passe de 172 Ă  109 an prenant le chiffre de base 100 pour l'URSS; cf. tableau ci-dessous INDICES DU REVENU NATIONAL PAR HABITANT URSS=100 1950 1970 Bulgarie 60 96 Roumanie 55 70 Hongrie 119 81 Pologne 114 81 RDA 131 135 TchĂ©coslovaquie 172 109 Source ProblĂšme de l’intĂ©gration socialiste I. Polejnik et Sergeev, Moscou 1974, Ces chiffres ne peuvent traduire plus clairement comment la Russie n'a cessĂ© en permanence de reporter sa crise sur son bloc grĂące Ă  cet instrument privilĂ©giĂ© que constitue le C0MEC0N. On comprend alors que dans les annĂ©es 1950 la croissance de certains pays "frĂšres" ait Ă©tĂ© purement et simplement nĂ©gative dans leur revenu national - 2% en 1952, - 4% en 1954 et 10% ! en 1956 pour la Hongrie. Point n'est besoin de chercher plus loin la cause des explosions sociales qui embrasĂšrent l'Europe de l'Est entre 1953 et 56. Seule la crainte de la dĂ©sagrĂ©gation de son bloc devait pousser la Russie Ă  limiter le pillage de ces pays, au prix d'un relĂąchement de son contrĂŽle Ă©conomique jusqu'Ă  ces derniĂšres annĂ©es. Si la crise ouverte du capitalisme d'Etat a pu connaĂźtre un rĂ©pit dans les pays comme la Pologne et la Hongrie au prix de l'endettement, l'URSS y est entrĂ©e de plein pied depuis les annĂ©es 60. En dĂ©pit des rĂ©formes Libermann, en dĂ©pit de la hausse de son pĂ©trole aprĂšs 1973, l'URSS va connaĂźtre maintenant au travers des chiffres de son plan quinquennal 1976-80, les chiffres les plus faibles enregistrĂ©s depuis 1928 pour la croissance du fonds d'accumulation moitiĂ© que celle enregistrĂ©e entre 1970 et 75. La crise permanente se dĂ©veloppe donc mainte nant de plus en plus comme crise ouverte. Deux constatations peuvent ĂȘtre tirĂ©es de cet te analyse de la crise en URSS et dans ses pays sate11ites ni l'Ă©conomie de guerre, ni les plans quin­quennaux, ni la main mise Ă©conomique sur les "dĂ©mocraties populaires" n'ont pu tirer l'URSS de la crise permanente. En cela l'URSS ne fait que suivre et mĂȘme prĂ©cĂ©der la crise gĂ©nĂ©rale ouverte des pays capitalistes dĂ©veloppĂ©s depuis la fin des annĂ©es 60. pour que surgisse la crise ouverte du capitalisme, il n'est point nĂ©cessaire qu'elle se manifeste par une chute brutale de la production donc par un effondrement. Il y a crise ouverte quand brutalement se manifeste la tendance observable depuis la pĂ©riode impĂ©rialiste Ă  la chute du taux de croissance, qui traduit en fait le freinage subi dans l'accumulation du capital. La rapiditĂ© de la pĂ©riode de reconstruction Ă  l'Est et son isolement relatif du marchĂ© mondial ont confrontĂ© le bloc russe plus rapidement au problĂšme de la crise. Celle-ci a Ă©tĂ© en quelque sorte plus "planifiĂ©e" qu'Ă  l'Ouest, restant relative et non encore absolue comme dans l'ensemble du tiers-monde. Il faut voir maintenant comment se manifeste spĂ©cifiquement la crise Ă  l'Est Ă  travers trois phĂ©nomĂšnes caractĂ©ristiques endettement, inflation et chĂŽmage. 3 Endettement, inflation, chĂŽmage L'endettement d'un pays capitaliste depuis 1914 traduit une tendance Ă  la banqueroute momentanĂ©ment freinĂ©e par la survie Ă  crĂ©dit. Ce n'est plus un crĂ©dit qui anticipe un surplus social rĂ©el mais une anticipation du manque croissant Ă  accumuler et valoriser le capital national. Le dĂ©ficit des pays du C0MEC0N depuis 1971 est liĂ© Ă  la faiblesse de leur production[11] alors que la nĂ©cessitĂ© se fait sentir pour eux tant de jeter leurs marchandises sur le marchĂ© mondial que de perfectionner leur appareil d'Ă©conomie de guerre. Ce dĂ©ficit traduit leur insertion rĂ©elle dans la crise gĂ©nĂ©rale. Selon le Bulletin mensuel de l'ONU juillet 1976, le dĂ©ficit des balances commerciales des pays du bloc russe est passĂ© de 700 millions de dollars en 1972 Ă  10 milliards en 75, avec une accĂ©lĂ©ration brutale entre 74 et 75. Il apparaĂźt Ă  travers cette Ă©tude qu'aprĂšs avoir reportĂ© la crise sur ses "alliĂ©s", l'URSS tend Ă  augmenter dĂ©mesurĂ©ment son endettement 3,6 milliards de dollars. La situation a pris une tournure catastrophique ; selon une Ă©tude de la Chase Manhattan Bank 1977, le dĂ©ficit commercial cumulĂ© des pays de l'Est entre 1961 et 76 serait de l'ordre de 42,5 milliards de dollars, plus de la moitiĂ© du dĂ©ficit relĂšve des annĂ©es 75 et 76. Fin 76 l'endettement atteignait 47 milliards de dollars, certains Ă©conomistes n'hĂ©sitaient pas Ă  prĂ©dire un chiffre compris entre 80 et 90 milliards pour 1980. Si l'endettement des pays du C0MEC0N reprĂ©sente 4% de leur PSB Produit Social Brut, pour certains pays Hongrie, Pologne il reprĂ©sente jusqu'Ă  10-15% du PSB. Un tel endettement n'est pas s'en rappeler celui qui affecte les "hommes malades" de l'Europe Grande-Bretagne, Italie, Portugal, Espagne, Ă  la seule diffĂ©rence que te pays dominant du bloc russe, l'URSS, n'a pas d'organismes internationaux FMI, banque mondiale lut permettant de transfĂ©rer sa dette sur ses alliĂ©s. Les staliniens et leurs"thĂ©oriciens" trotskystes sont bien contraints de reconnaĂźtre de telles donnĂ©es brutes. Ils prĂ©tendent nĂ©anmoins que la crise Ă  l'Est dĂ©coule de la pression pernicieuse du capitalisme occidental qui vend plus cher ses produits au COMECON, lequel ne pourrait ex porter les prĂ©cieuses marchandises "socialistes" Ă  l'Ouest protĂ©gĂ© par toutes sortes de barriĂšres protectionnistes. Ce que E. Mandel appelle "contrecoup de la rĂ©cession capitaliste" Critique de l'Economie Politique, n°24-25 est l'aveu naĂŻf que cette prĂ©tendue "rĂ©cession" est bien une crise mondiale auquel aucun pays ne peut se soustraire quelque soit le soin apportĂ© par le mĂȘme Mandel Ă  disserter sur la "nature sociale ment diffĂ©rente de l'Ă©conomie des Etats ouvriers bureaucratisĂ©s". Toutes les autres thĂ©ories qui faisaient de l'URSS un troisiĂšme systĂšme pouvant se soustraire au marchĂ© mondial et aux lois d'airain de la division internationale du travail, s'Ă©croulent. Quel que soit le degrĂ© d'autarcie adoptĂ© par un pays capitaliste depuis la dĂ©cadence du systĂšme, il ne peut se soustraire Ă  la nĂ©cessitĂ© d'Ă©changer sa production afin de la rĂ©aliser sur le marchĂ© mondial. La contradiction du systĂšme capitaliste devient telle sous la dĂ©cadence qu'en mĂȘme temps que s'accĂ©lĂšre la tendance Ă  l'autarcie se renforcent les liens internationaux entre les Ă©conomies capitalistes soumises Ă  l’impĂ©rieuse nĂ©cessitĂ©s "d'exporter ou mourir". Le COMECON n'Ă©chappe pas Ă  cette rĂ©alitĂ©, bien qu'en lui-mĂȘme il reprĂ©sente pour les huit pays membres du COMECON une fraction du marchĂ© mondial oĂč je rĂ©alise leur capital. Mais il n'y a pas deux marchĂ©s mondiaux l'un "classique" dominĂ© par les USA et l'autre externe avec ses lois propres. L'assertion de Mattick Marx et Keynes que tes "nations capitalistes d'Etat forment un bloc qui, sur le plan des relations Ă©conomiques, se prĂ©sente un peu comme un second marchĂ© mondial" se rĂ©vĂšle totalement dĂ©mentie par la rĂ©alitĂ© de la crise actuelle. Plus que jamais il se vĂ©rifie que l'unicitĂ© du marchĂ© mondial est la contra diction du capitalisme qui jette chaque Etat dans la crise. Mais, et l'inflation ? Ajoutent ceux pour qui l'apparence tient lieu de rĂ©alitĂ© "l'inflation c'est la crise, oĂč voit-on trace d'inflation Ă  l'Est" ? Si l'inflation exprime depuis la premiĂšre guerre mondiale la crise historique du systĂšme capitaliste, la dĂ©flation ne l'exprime pas moins, par une diminution artificielle de la masse monĂ©taire et par la restriction du crĂ©dit. Dans les annĂ©es 30 de telles mesures dĂ©flationnistes Grande-Bretagne, France... ne firent qu'aggraver la crise, s'accompagnant de restrictions draconiennes des salaires nominaux et d'un hyper chĂŽmage. Le monde capitaliste ne tarda pas Ă  adopter les mesures suggĂ©rĂ©es par Keynes basĂ©es sur le plein emploi et l'inflation. On sait aujourd'hui Ă  quelle faillite ont abouti de telles mesures Ă  l'Ouest. Dans le bloc russe, les indices Ă©conomiques indiquent une absence d'inflation. Pourtant en 1975, les statistiques fournies par les banques de Pologne et de Hongrie admettaient depuis 70 une hausse des prix respectivement de 13,252 et de 14,6%. En Hongrie Ă  la diffĂ©rence du gouvernement polonais qui a dĂ» reculer devant les Ă©meutes ouvriĂšres, en juillet 76, le prix de la viande a Ă©tĂ© relevĂ© de 33%. En rĂ©alitĂ©, mĂȘme dans les autres pays de l'Est qui n'acceptent pas la "vĂ©ritĂ© des prix", au point de dĂ©crĂ©ter des baisses autoritaires cas de la TchĂ©coslovaquie, de la RDA, l'inflation se manifeste de façon dĂ©tournĂ©e. Par le biais du "marchĂ© libre" et du "marchĂ© noir" qui constituent le vĂ©ritable marchĂ© des produits de consommation courants. C'est sur ce marchĂ© quasi institutionnalisĂ© que la population trouve les produits de base nĂ©cessaires Ă  la reproduction de sa force de travail ; lĂ , les prix sont frĂ©quemment le double, le triple des prix officiels. Les marchandises vendues au prix officiel sont bien entendu extrĂȘmement rares et de qualitĂ© mĂ©diocre, quand elles ne sont pas dĂ©tournĂ©es simple ment vers le marchĂ© noir... C'est donc une autre façon de s'attaquer Ă  la classe ouvriĂšre Ă  l'Ouest par une inflation franche et ouverte "vĂ©ritĂ© des prix"; Ă  l'Est par la mĂ©thode hypocrite du marchĂ© noir. D'un cĂŽtĂ© on diminue le salaire rĂ©el par la hausse accĂ©lĂ©rĂ©e des prix, de l'autre par la rarĂ©faction des marchandises vendues dans les magasins d'Etat et par, le marchĂ© noir. Le rĂ©sultat est identique dans les deux cas le salaire rĂ©el se trouve diminuĂ©. Ainsi le prix de chaque marchandise ne se trouve pas ĂȘtre le fruit d'une politique purement arbitraire de la bourgeoisie des pays de l'Est. Comme Ă  l'Ouest, la hausse des prix exprime la loi de la valeur valorisation et dĂ©valorisation du capital accumulĂ©. Il en est de mĂȘme des prix Ă  la production qui traduisent tout autant la valorisation du capital. Si des "marxistes" bien intentionnĂ©s comme le GLAT[12] ou Mattick reconnaissent cette attaque permanente de la classe ouvriĂšre par cette inflation camouflĂ©e, ils ne veulent pas reconnaĂźtre par contre que les prix de production subissent l'influence du marchĂ© mondial. Selon le GLAT "les prix imposĂ©s aux entreprises ne sont que des instruments comptables qui tentent de reflĂ©ter la nĂ©cessitĂ© pour les entre prises de participer Ă  l'extraction gĂ©nĂ©rale de la plus-value et Ă  la rentabilisation du capital social". Si cela Ă©tait un phĂ©nomĂšne purement interne de comptabilitĂ©, on comprend mal pourquoi l'URSS a relevĂ© de 100% le prix de son pĂ©trole en 1974, on ne comprend pas plus pourquoi en Hongrie - par exemple - des relĂšvements des prix de l'Ă©nergie, des produits chimiques et sidĂ©rurgiques ont Ă©tĂ© effectuĂ©s en 1976-77[13], traduisant le relĂšvement gĂ©nĂ©ral des prix mondiaux. On pourrait multiplier les exemples qui montrent que les prix ne sont pas de purs "instruments comptables" mais le pro duit d'un marchĂ© mondial sur lequel s'Ă©changent des marchandises vendues Ă  un prix moyen. Pas plus qu'Ă  l'Ouest, le bloc russe n'Ă©chappe Ă  ce dĂ©terminisme qui est la nĂ©gation de tout volontarisme Ă©conomique. Cependant, la crise du capitalisme dont nous avons retrouvĂ© les phĂ©nomĂšnes classiques, se manifeste de façon -mais non de nature- diffĂ©rente en ce qui concerne le chĂŽmage, expression la plus classique de la crise gĂ©nĂ©rale du systĂšme. Il en est du chĂŽmage comme de l'inflation dans les pays de l'Est officiellement, il n'existe pas. Avant de voir si les chiffres officiels traduisent bien la rĂ©alitĂ©, on doit faire observer tout d'abord que capitalisme d'Etat ne signifie pas disparition du chĂŽmage. DĂ©jĂ  dans la Russie stalinienne d'avant les plans quinquennaux, il y avait chĂŽmeurs "officiels" pour environ 10 millions d'ouvriers 1928-30. Les chĂŽmeurs "disparurent" par la suite des statistiques avec la croissance quantitative de la classe ouvriĂšre. Aujourd'hui, selon la Revue d'Etudes Comparatives Est-Ouest n°1, 1977, le chĂŽmage en Yougoslavie touche prĂšs de 600 mille ouvriers, triplant par rapport Ă  1965, tandis qu'un million d'ouvriers recensĂ©s devaient vendre en 1972 Ă  l'Ă©tranger leur force de travail "socialiste". Passons maintenant dans tes pays adhĂ©rents au C0MEC0N oĂč l'autogestion absente n'a pas la vertu miraculeuse de transformer les ouvriers en chĂŽmeurs. En 1965, en Pologne, il y avait officiellement chĂŽmeurs recensĂ©s et d'aprĂšs Trybuna Ludu du 15/2/71, le plan quinquennal mis en place prĂ©voyait entre 500 et 600 000 chĂŽmeurs. Il est vrai que depuis l'in surrection ouvriĂšre de 1970-71, le gouvernement polonais a choisi la voie du plein emploi au prix d'un endettement considĂ©rable tant auprĂšs des banques russes que des organismes interna­tionaux de l'Ouest. On peut supposer que le "cas polonais" n'est pas isolĂ© dans les autres pays, quand on sait que les entreprises et l'Etat, s'arrogent le droit de licencier ou comme on dit plus pudiquement de "dĂ©placer la main-d'oeuvre". Il y a quelques annĂ©es, l'organe des syndicats soviĂ©tiques Trud se plaignait de licenciements abusifs dans les RĂ©publiques d'Asie Centrale. Un chĂŽmage camouflĂ© peut se manifester aussi par l'Ă©migration de la main-d'oeuvre entre les diffĂ©rents Etats"frĂšres". Ce phĂ©nomĂšne s'est particuliĂšrement dĂ©veloppĂ© ces derniĂšres annĂ©es. On sait qu'en RDA travaillent chiffres officiels 50 000 mineurs polonais et prĂšs de 10 000 ouvriers hongrois. En TchĂ©coslovaquie, ce sont 20 000 travailleurs polonais qui doivent y vendre leur force de travail, tandis qu'y afflue maintenant un fort contingent d'ouvriers yougoslaves en quĂȘte de travail La Repubblica du 10/2/76. Cependant, il ne semble pas que ces cas, qui traduisent un chĂŽmage endĂ©mique, soient gĂ©nĂ©ralisables d'autant plus si l'on tient compte du fait que la masse des ouvriers reprĂ©sente souvent plus de 50% de la population active. Pour le moment dans la majoritĂ© des pays de l'Est les ouvriers sans travail sont avant tout des "Ă©lĂ©ments asociaux", c'est Ă  dire les ouvriers combatifs qui luttent courageusement contre l'exploitation capitaliste. Aujourd'hui, le chĂŽmage ne se dissimule plus derriĂšre les barbelĂ©s des camps de travail staliniens, que les rĂ©gimes en place durent supprimer au dĂ©but des annĂ©es 50, quand il se rĂ©vĂ©la qu'ils Ă©taient non seulement des foyers de rĂ©volte mais parfaitement improductifs et non rentables d'un point de vue capitaliste. Comme le proclamait en 1956 la revue polonaise, Polytika, organe du parti stalinien, les classes dominantes des pays du C0MECQN se trouvent placĂ©es devant le dilemme suivant "Il est certain, et nous devons en prendre conscience, que la population doit choisir soit une augmentation importante de l'emploi, soit une limitation de l'emploi et une amĂ©lioration des salaires rĂ©els. Il n'y a pas d'autre solution". Une telle dĂ©claration sincĂšre des capitalistes polonais pourrait s'intituler deux maniĂšres de rĂ©duire la part de capital variable dans les marchandises produites. A L'Ouest, entre l'inflation et le blocage des salaires, il y a en effet une maniĂšre radicale de diminuer la part du facteur V capital variable pour augmenter l'extraction de la plus-value c'est d'expulser les ouvriers du processus de production. Le rĂ©sultat c'est une diminution de la masse salariale globale, quand une augmentation de la productivitĂ© vient compenser thĂ©oriquement les frais occasionnĂ©s par l'entretien des chĂŽmeurs. A l'Est, en gĂ©nĂ©ral, on n'expulse pas les ouvriers du processus de production mais on diminue la part du facteur capital variable par la rĂ©duction des biens de consommation accessibles aux ouvriers. Elle prend deux aspects inflation marchĂ© noir comme Ă  l'Ouest et blocage des salaires rĂ©els. Quand la pression ouvriĂšre devient trop forte, on lĂąche les augmentations nominales de salaire. A la diffĂ©rence ce des pays capitalistes dĂ©veloppĂ©s, ces hausses sont essentiellement annulĂ©es par la pĂ©nurie des biens de consommation. Les ouvriers ne peuvent acheter, ils se serrent la ceinture n'ayant d'autre chois que de dĂ©poser leur part de salaire "excĂ©dentaire" dans les caisses d'Epargne[14] voir note 19, page suivante. Ainsi, d'aprĂšs l'Annuaire statistique du COMECON 1974, les dĂ©pĂŽts en caisses d'Epargne de 1960 Ă  1976 se sont multipliĂ©s par 6 en URSS par 11 en Hongrie et par 13 en Pologne. De quoi fournir un crĂ©dit gratuit pour le capitalisme qui peut les investir dans l'industrie lourde ! Tous ces chiffres montrent que malgrĂ© l'accumulation capitaliste accrue, depuis plus d'une dizaine d'annĂ©es les salaires rĂ©els ont eu tendance Ă  stagner. L'emploi a donc Ă©tĂ© maintenu par une paupĂ©risation relative colossale de l'ensemble de la classe ouvriĂšre. Il est Ă  noter qu'une telle "mĂ©thode" est peu efficace compte tenue de la faiblesse de la masse de plus-value obtenue en raison du faible taux de productivitĂ©. En Occident la place occupĂ©e dans la marchandise par le facteur y est compensĂ©e par une masse de plus-value obtenue par une productivitĂ© croissante, quand le chĂŽmage payĂ© ne croĂźt pas de façon dĂ©mesurĂ©e. Cependant tant Ă  l'Est qu'Ă  l'Ouest, le rĂ©sultat est identique avec l'accĂ©lĂ©ration de la crise diminution du niveau de vie global de la classe ouvriĂšre prise comme un tout, ramenĂ©e progressivement Ă  un seuil physiologique. Pour une fraction de plus en plus importante de la classe ouvriĂšre Ă  l'Ouest, pour l'ensemble de la classe Ă  l'Est vivant Ă  la limite du SMIC officiel. La seule diffĂ©rence entre l'Est et l'Ouest consiste en ce que l'attaque contre la classe ouvriĂšre Ă  l'Est est faite beaucoup plus tĂŽt et plus brutalement en raison de la faiblesse de l'Ă©conomie. Seule la politique "keynĂ©sienne" de plein emploi permet de mystifier le degrĂ© de l'exploitation chez les ouvriers. Nous verrons dans la deuxiĂšme partie de cet article 1 La nature du capitalisme d'Etat Ă  l'Est afin de dĂ©terminer les raisons profondes de la crise. Le capitalisme d'Etat supprime t’il les causes classiques de la crise du capitalisme baisse tendancielle du taux de profit, saturation des marchĂ©s ? Y a t’il crise de surproduction ou de sous-production ? 2 L'ImpossibilitĂ© pour le capitalisme dans le bloc russe de trouver des solutions ni par le commerce mondial, ni par le dĂ©veloppement du marchĂ© interne. 3 Le degrĂ© de crise politique et le caractĂšre de la lutte de classe face au capitalisme d'Etat. Ch. [1] Pour la premiĂšre fois dans l’histoire du bloc russe, un pays comme la Hongrie s’est trouvĂ© dans l’obligation d’ouvrir tous ses comptes bancaires et de les communiquer au FMI, pour prouver sa solvabilitĂ© et recevoir ainsi les prĂ©cieux crĂ©dits de cette institution. [2] Selon Souvarine Staline, lors d'un recensement de la population effectuĂ© en 1937, au Heu de V70 millions d'habitants escomptĂ©s, on ne trouve que 147 millions chiffre de 1928 de "citoyens socialistes". AprĂšs avoir fait disparaĂźtre les rĂ©sultats et les statisticiens "contre-rĂ©volutionnaires", un nouveau recensement en 1939 se chargea de trouver -enfin - les 170 millions d'habitants. Il est difficile de savoir comment se rĂ©partissaient les 23 millions de fantĂŽmes entre les cimetiĂšres et les camps de concentration. [3] Chiffres extraits de l'Annuaire statistique du COMECON 1971 [4] cf. L'URSS telle qu'elle est de Yvon 1937, tĂ©moignage d'un ouvrier français ayant travaillĂ© en Russie, qui indique que le salaire rĂ©el mensuel est passĂ© de. 800 kgs de pain en 1927 Ă  170 kgs en 1935, pour remonter faiblement Ă  260 kgs en 1937. [5] Il s'agit de Programme Communiste en France et de II Partito Comunista, scission de ce dernier en Italie. Tous deux considĂšrent que c'est dans les annĂ©es 60 que le capitalisme russe est entrĂ© dans une phase de "maturitĂ©", aprĂšs avoir connu une phase d'expansion "juvĂ©nile" lors des plans quinquennaux Bordiga voyait mĂȘme en Staline un "rĂ©volutionnaire romantique" sic portĂ© par le "tumultueux dĂ©veloppement capitaliste". [6] cf. Le Conflit du SiĂšcle de Fritz Sternberg. [7] Souvarine qui fait recouper les dĂ©clarations officielles contradictoires montre "qu'aucun chiffre n'a de signification prĂ©cise". Par exemple "En 1932, il a Ă©tĂ© coulĂ© 6,2 millions de tonnes de fon te au lieu de 10 escomptĂ©es par le plan et des 17 prĂ©vues par Staline au 16Ăšme CongrĂšs. Il a Ă©tĂ© ex trait 62,4 millions de tonnes de houille au lieu de 7,5 Plan, de 90 chiffres de contrĂŽle et des 140 fixĂ©es par le ComitĂ© Central dĂ©cision du 15 aoĂ»t 1931..". [8] L'Etat russe ira jusqu'Ă  prĂ©lever 85% de la production agricole qu'il n'arrive pas Ă  dĂ©velopper en raison de la mĂ©diocritĂ© du matĂ©riel sur les tracteurs des sovkozes, sont endomma­gĂ©s et de la rĂ©sistance paysanne en 1932, la rĂ©colte de cĂ©rĂ©ales est de 69,9 millions de tonnes pour 96,6 en 1913 qui refuse de produire pour le "roi de Prusse". [9] Les extraits de Military Balance Londres sous-estiment une rĂ©alitĂ© oĂč s'enchevĂȘtre inextricablement production civile et production d'armements [10] Vassil VASSILEV, dans son livre RationalitĂ© sic du systĂšme soviĂ©tique 1976 cite des chiffres extraits de thĂšses Ă  huis clos dites Zakritata teza ; publiĂ© seulement aprĂšs l'agrĂ©ment de la censure et oĂč les auteurs de tels travaux ont pu accĂ©der Ă  des sources statistiques ne figurant sur aucun annuaire de statistique officielle ». [11] Nous y reviendrons dans la deuxiĂšme partie de cet article. [12] GLAT groupe de Liaison pour l’Autonomie des Travailleurs Lutte de classe, groupe rĂ©volutionnaire dont RĂ©volution Internationale a fait la critique dans le numĂ©ro RI nouvelle sĂ©rie. [13] Notes et Ă©tudes documentaires 9 septembre 1977 l’Europe de l’Est en 1976. [14] Les ouvriers Ă©pargnent en attendant des produits disponibles sur le marchĂ© libre. Il est bien Ă©vident que seule une mince couche de la classe ouvriĂšre peut Ă©pargner, la majoritĂ© n'ayant pas de salaire supĂ©rieur Ă  la simple production et reproduction de sa force de travail. Si l'argent de son salaire doit ĂȘtre de plus en plus dĂ©posĂ© dans les banques ou caisses d'Epargne, avant d'ĂȘtre touchĂ©, cela ne lui donne aucune possibilitĂ© de disposer d'un crĂ©dit Ă  l'achat ou d'anticiper des achats au tres que ceux immĂ©diats de la consommation mensuelle. L'Epargne reste le fait des couches moyennes ou de la bourgeoisie dont les revenus ne peuvent s'Ă©changer contre des marchandises qui font dĂ©faut sur le marchĂ© ou trop onĂ©reuses pour ĂȘtre achetĂ©es immĂ©diatement une voiture reprĂ©sente trois an­nĂ©es de travail d'un ouvrier moyen. SituationĂ©conomique. Depuis son accession Ă  l’UE en 2007, la Roumanie a fortement progressĂ© en termes de convergence Ă©conomique (le PIB/habitant est passĂ© de 39% de la moyenne de l’UE en 2006 Ă  69% en 2019, l’objectif Ă©tant d’atteindre 87% d’ici 2025). Cependant, sa convergence europĂ©enne n’est pas achevĂ©e : corruption
Europe La mesure envisagĂ©e par Laurent Fabius comme sanction contre la Russie pourrait coĂ»ter Ă  la France un milliard d'euros et prĂšs de 1 000 emplois. Fallait-il livrer Ă  la Russie un porte-hĂ©licoptĂšres Mistral ? Et faut-il livrer le second ? La France est embarrassĂ©e par un contrat de vente de deux navires militaires Ă  Moscou, alors que l'occident a dĂ©cidĂ© de mesures de sanction suite au conflit ukrainien. Explications. 1. Que sont ces contrats ? SignĂ© en juin 2011, sous la prĂ©sidence de Nicolas Sarkozy, le contrat prĂ©voit la construction et la vente de deux navires porte-hĂ©licoptĂšres Ă  la Russie, pour 1,12 milliard d'euros. La construction est assurĂ©e par l'entreprise française DCNS, Ă  Saint-Nazaire. Le marchĂ© inclut des transferts de technologie pour environ 220 millions d'euros, ainsi qu'une formation des Ă©quipages russes. Les deux navires s'appellent Vladivostok et SĂ©bastopol. Le premier doit ĂȘtre livrĂ© fin 2014. Son assemblages s'est terminĂ© Ă  l'Ă©tĂ© 2013, et les premiers essais en mer ont eu lieu dĂ©but mars. Le SĂ©bastopol, du nom de la ville de CrimĂ©e dont le rattachement Ă  la FĂ©dĂ©ration de Russie doit ĂȘtre entĂ©rinĂ© par la Douma russe jeudi 20 mars, doit, lui, ĂȘtre livrĂ© fin 2016. La construction de ces navires, fabriquĂ©s Ă  Saint-Nazaire Loire-Atlantique, a permis de crĂ©er 1 000 emplois en France. 2. 2. Pourquoi posent-ils problĂšme ? Dans le cadre des sanctions envisagĂ©es contre la Russie suite Ă  la crise ukrainienne, le ministre français des affaires Ă©trangĂšres, Laurent Fabius avait Ă©voquĂ© la possibilitĂ© de suspendre la livraison des deux navires. Un contrat qui date de 2011 Une commande stratĂ©gique pour la Russie Pour Vladimir Poutine, l'acquisition des deux Mistral constituent un atout militaire important. Fleurons de la marine française, les porte-hĂ©licoptĂšres BPC Mistral bĂątiments de projection et de commandement sont surnommĂ©s les couteaux suisses » pour leur grande polyvalence. Ils peuvent en effet combiner les fonctions de commandement, de transport de troupes et d'hĂŽpital. Pour l'instant, les Russes n'ont aucun bĂątiment ayant cette capacitĂ© de projection et de commandement », explique Jean-Pierre Maulny, directeur adjoint de l'Institut des relations internationales et stratĂ©giques IRIS. Et leurs chantiers ne sont pas en mesure d'en construire. » De plus, le bateau comporte des Ă©quipements de haute technologie dont la Russie ne dispose pas un systĂšme de communication pour le combat tactique, le Senit 9, mais aussi un radar sophistiquĂ©. La signature du contrat avait d'ailleurs soulevĂ© des critiques, au sein de l'OTAN, au vu de l'importance stratĂ©gique des navires. Les nĂ©gociations avaient en effet commencĂ© en 2008, peu aprĂšs l'attaque de la GĂ©orgie par la Russie, et les pays de l'est de l'Europe s'inquiĂ©taient des vĂ©llĂ©itĂ©s militaires russes. Ce que la France peut y perdre L'entreprise DCNS a sous-traitĂ© une grande partie de la construction des BPC auprĂšs de STX France. La commande a permis de crĂ©er environ 1 000 emplois Ă  temps plein sur quatre ans – la plus grande partie chez STX France, Ă  qui appartient le site de Saint-Nazaire. Le deuxiĂšme Mistral ne devant ĂȘtre livrĂ© que fin 2016, rien ne garantit que ces postes pourront ĂȘtre sauvĂ©s si la France met fin au contrat. Le vice-premier ministre russe, Dmitri Rogozine, n'a d'ailleurs pas manquĂ© d'insister sur ce point. Notre collĂšgue [Laurent Fabius] n'est peut-ĂȘtre pas au courant du nombre d'emplois créés en France grĂące Ă  notre partenariat », a-t-il indiquĂ© sur Twitter. Outre la perte des emplois, le coĂ»t pour la France d'une annulation de la vente serait trĂšs Ă©levĂ© l'Etat devra couvrir le risque par la Coface qui gĂšre les garanties publiques Ă  l’exportation pour le compte de l’État, Ă  hauteur, selon nos informations, d'un milliard d'euros net
 qu'il faudrait compter dans le budget national. Sur Europe 1, le 18 mars, Laurent Fabius s'est d'ailleurs montrĂ© assez embarrassĂ©. Affirmant qu'on ne ne peut pas envisager de livrer en permanence des armements [Ă  la Russie] compte tenu de ce comportement », il a aussi reconnu qu' il y a la rĂ©alitĂ© de l'emploi et de l'Ă©conomie ». Il a soulignĂ© qu'un embargo ne serait pris que dans le cadre de sanctions gĂ©nĂ©rales », auxquelles participeraient les autres Etats europĂ©ens. Jeudi 20 mars, le ministre de la dĂ©fense, Jean-Yves Le Diran, a quant Ă  lui assurĂ© que la question se posera au mois d'octobre », date prĂ©vue de livraison du premier bĂątiment. Si le contrat devait finalement ĂȘtre annulĂ©, il serait toujours possible de revendre les navires, Ă  condition de leur trouver un acquĂ©reur. Ce type d'Ă©quipement est plus facile Ă  revendre qu'un sous-marin nuclĂ©aire ou qu'un porte-avions, estime Robert Ranquet, ingĂ©nieur gĂ©nĂ©ral de l'armement et directeur adjoint de l'Institut des hautes Ă©tudes de la dĂ©fense nationale IHEDN Comme il peut ĂȘtre utilisĂ© pour des missions non militaires, comme de l'humanitaire, il est susceptible d'intĂ©resser plusieurs pays. » A condition, bien sĂ»r, que l'Etat en question ait le budget nĂ©cessaire pour l'acheter. Jean Comte et Nathalie Guibert Lire aussi A Saint-Nazaire, les chantiers STX reçoivent deux commandes de paquebots Le Monde
Cependant la Russie dispose d'un stock plus important de ce type d'Ă©quipement que l'Ukraine, et l'AFU a donc besoin de tous les vĂ©hicules blindĂ©s de transport de troupes et de BMP. 298 575 155 banque de photos, images 360° panoramiques, vecteurs et vidĂ©osEntrepriseSĂ©lectionsPanierRechercher des imagesRechercher des banques d’images, vecteurs et vidĂ©osLes lĂ©gendes sont fournies par nos de l'imageTaille du fichier43,4 MB 1,3 MB TĂ©lĂ©chargement compressĂ©Dimensions4770 x 3180 px 40,4 x 26,9 cm 15,9 x 10,6 inches 300dpiDate de la prise de vue9 mai 2022Informations supplĂ©mentairesCette image peut avoir des imperfections car il s’agit d’une image historique ou de dans la banque de photos par tags Dansle plus pire scĂ©nario entre les États-Unis et la Russie, la reconstitution des ocĂ©ans devrait prendre des dĂ©cennies en surface et des centaines d’annĂ©es en profondeur, tandis que les changements dans la glace de mer de l’Arctique devraient prendre des milliers d’annĂ©es et dĂ©clencher effectivement un « petit Ăąge glaciaire nuclĂ©aire ». Les Ă©cosystĂšmes marins seraient
La Russie a 11 fuseaux horaires sur son vaste territoire – et ses dirigeants pensent que c’est tout simplement trop d’heures dans la Russie s’étend sur 11 fuseaux est la superficie du territoire russe couverte ?Liste des pays et dĂ©pendances classĂ©s par zonePays% de la masse continentale mondiale1Russie11,0 %2Canada6,1 %3Chine6,3 %4États-Unis6,1 %Pourquoi la Russie a-t-elle 11 fuseaux horaires ?Dans l’Empire russe, les chemins de fer utilisaient l’heure de Saint-PĂ©tersbourg pour tous les horaires. Officiellement, la Russie n’a rejoint le systĂšme international de fuseaux horaires qu’aprĂšs la rĂ©volution bolchevique. En 1919, le pays Ă©tait divisĂ© en 11 fuseaux horaires avec des frontiĂšres qui longeaient les chemins de fer et les Russie a-t-elle 8 fuseaux horaires ?Il y a onze fuseaux horaires en Russie, qui observent actuellement des heures allant de UTC 0200 Ă  UTC + 1200. L’heure d’étĂ© DST n’est plus utilisĂ©e en Russie depuis le 26 octobre sont les 11 fuseaux horaires de la Russie ?La Russie utilise actuellement onze fuseaux horaires standard, le fuseau horaire russe 1 UTC + 2, le fuseau horaire russe 2 UTC + 3, le fuseau horaire russe 3 UTC + 4, le fuseau horaire russe 4 UTC + 5, l’heure russe Fuseau horaire 5 UTC + 6, fuseau horaire russe 6 UTC + 7, fuseau horaire russe 7 UTC + 8, fuseau horaire russe 8 UTC + 9, fuseau horaire russe 9 UTC + 10.Combien y a-t-il de fuseaux horaires ?24 fuseaux horairesLe monde est divisĂ© en 24 fuseaux horaires. Le dĂ©roulement d’une journĂ©e est dĂ©composĂ© en secondes et calculĂ© pour dĂ©finir l’heure exacte d’un lieu particulier. Cependant, ce n’est pas si facile. Les 24 fuseaux horaires, créés en fonction de chaque heure de la journĂ©e, sont thĂ©oriquement dessinĂ©s verticalement comme les longitudes du se fait-il que la Russie ait autant de terres ?Sous Ivan le Terrible 1533-1584, les cosaques russes se sont dĂ©placĂ©s pour conquĂ©rir des terres de l’autre cĂŽtĂ© des montagnes de l’Oural en SibĂ©rie et en ExtrĂȘme-Orient. Ces rĂ©gions reprĂ©sentent 77% de la superficie totale de la Russie. En d’autres termes, c’est la conquĂȘte de la SibĂ©rie qui a fait de la Russie le plus grand pays Russie a-t-elle beaucoup de terres ?En termes de territoire, la Russie est le plus grand pays du monde. Avec une superficie totale de 17 075 200 kilomĂštres 6 592 735 milles carrĂ©s, la Russie couvre environ un huitiĂšme de la surface terrestre du Russie a-t-elle deux fuseaux horaires ?Quel pays a le plus de fuseaux horaires ?La Russie est le pays qui a le plus grand nombre de fuseaux horaires consĂ©cutifs. Les fuseaux horaires russes sont UTC-2, UTC-3, UTC-4, UTC-5, UTC-6, UTC-7, UTC-8, UTC-9, UTC-10, UTC-11 et Russie a-t-elle 11 ou 12 fuseaux horaires ?Combien de fuseaux horaires la Russie a-t-elle dans le monde ?Alors que la France et ses dĂ©pendances s’étendent sur 12 fuseaux horaires, la Russie dĂ©tient un autre record du monde 10 des 11 fuseaux horaires du pays couvrent une masse continentale contiguĂ« – seule l’enclave russe de Kaliningrad, coincĂ©e entre la Lituanie et la Pologne, rompt ce commence l’heure d’étĂ© en Russie ?Il y a onze fuseaux horaires en Russie, qui observent actuellement des heures allant de UTC 0200 Ă  UTC + 1200. L’heure d’étĂ© n’est pas utilisĂ©e en Russie depuis le 26 octobre 2014. Du 27 mars 2011 au 26 octobre 2014, l’heure d’étĂ© permanente a Ă©tĂ© est le pays avec le plus de fuseaux horaires ?Avec ses 11 heures locales, la Russie est l’un des pays avec le plus de fuseaux horaires au Ă©tait le fuseau horaire en Union soviĂ©tique ?AprĂšs la crĂ©ation de l’Union soviĂ©tique, l’heure de Moscou est devenue UTC 0200 et les divers autres fuseaux horaires jusqu’à UTC+1200 ont Ă©tĂ© introduits dans toute la Russie et le reste de l’Union soviĂ©tique, par exemple l’heure d’Irkoutsk UTC+07 00 Irkoutsk a depuis toujours Ă©tĂ© MSK+5.Bonjour Ă  tous, je suis le rĂ©dacteur en chef de SIND Canada. J’écris des articles depuis plus de 10 ans et j’adore partager mes connaissances. Je suis rĂ©dacteur pour de nombreux sites Web et journaux. Toutes mes idĂ©es proviennent de mon style de vie trĂšs actif. Je me tiens toujours trĂšs informer pour vous donner les meilleure information. Au cours de toutes mes annĂ©es en tant qu’informaticien, je suis devenu un chercheur incroyable. Vous pouvez me contacter par courriel info
Sonmariage. Le 9 novembre 1866, Ă  presque 19 ans, la princesse Dagmar se marie avec le grand-duc Alexandre Alexandrovitch, hĂ©ritier du trĂŽne de Russie. si comme moi vous avez du mal Ă  suivre sur BMTV et autres chaines de dĂ©sinformation en continu, heureusement il y a la traduction de Marianne Dunlop pour histoireetsociete. ÉvĂ©nements clĂ©s, nouvelles, dĂ©clarations du 4 maiSergueĂŻ Aksionov A Marioupol, l’artillerie et l’aviation ont commencĂ© Ă  travailler de façon serrĂ©e sur l’usine Azovstal aprĂšs que les nationalistes aient violĂ© la trĂšve. Selon les mĂ©dias, un gĂ©nĂ©ral canadien responsable d’un laboratoire biologique oĂč l’on travaillait avec des virus mortels a Ă©tĂ© arrĂȘtĂ© alors qu’il tentait de s’échapper d’Azovstal. Ramzan Kadyrov a blĂąmĂ© le commandant d’Azov *qui se cache derriĂšre des femmes et des personnes ĂągĂ©es. La nuit prĂ©cĂ©dente, un pilonnage massif des cibles dans les rĂ©gions de Lviv, Dnipropetrovsk, Kirovograd, Vinnytsia, Odessa et Kiev a eu lieu. Les tirs de roquettes ont gravement endommagĂ© six gares de triage utilisĂ©es pour les livraisons d’armes et ont retardĂ© le trafic ferroviaire. Les forces armĂ©es biĂ©lorusses ont lancĂ© une inspection surprise de leurs forces d’intervention. Les unitĂ©s militaires travailleront sur la prĂ©paration au combat, marcheront vers des zones dĂ©signĂ©es et effectueront des tĂąches d’entraĂźnement au combat. L’objectif est de tester l’aptitude Ă  rĂ©agir rapidement Ă  des situations de crise. *** Les Ă©coles dans les zones libĂ©rĂ©es de la LNR doivent commencer Ă  fonctionner d’ici le 10 mai. Medvedev la dĂ©claration de l’OTAN selon laquelle elle n’est plus liĂ©e par un traitĂ© avec la Russie signifie qu'”il est possible d’amener des armes nuclĂ©aires sur le territoire de nouveaux pays” de l’alliance. La partie russe n’a aucun projet de guerre nuclĂ©aire sur le territoire de l’Ukraine – chef de la dĂ©lĂ©gation russe aux pourparlers de Vienne sur la sĂ©curitĂ© militaire et la maĂźtrise des armements Konstantin Gavrilov. La participation des dĂ©lĂ©guĂ©s russes Ă  la rĂ©union du comitĂ© de l’information de l’ONU a Ă©tĂ© perturbĂ©e en raison des actions amĂ©ricaines, Zakharova n’a reçu son visa qu’hier – premier reprĂ©sentant permanent adjoint de la Russie auprĂšs de l’ONU Polyansky. Le maire de Konotop, en Ukraine, a interdit l’Eglise canonique du Patriarcat de Moscou. Le soldat Alexei Likhanov du village d’Undino-Poselie, qui a Ă©tĂ© blessĂ© lors de l’opĂ©ration spĂ©ciale en Ukraine et a passĂ© 12 jours Ă  ramper avec des grenades dans les mains jusqu’à l’emplacement de l’armĂ©e russe, a perdu beaucoup de poids mais est en vie – le gouverneur du territoire de Trans-Baikal. 18,20 Euro Ă  la Bourse de Moscou sous les 71 roubles pour la premiĂšre fois depuis fĂ©vrier 2020. Readovka Sous les tirs de mortier de l’AFU, des militaires russes ont retirĂ© les soldats ukrainiens morts du champ de bataille afin qu’ils puissent ĂȘtre enterrĂ©s de maniĂšre civilisĂ©e. Promsvyazbank ouvre sa premiĂšre agence Ă  SĂ©bastopol, un Ă©vĂ©nement attendu depuis longtemps par la ville – gouverneur. Le Parlement bulgare a soutenu Ă  la majoritĂ© la proposition de fournir Ă  l’Ukraine une assistance humanitaire et militaro-technique. Le taux de change du dollar Ă  la Bourse de Moscou est passĂ© sous les 68 roubles pour la premiĂšre fois depuis mars 2020. Le gouvernement britannique a Ă©tendu les sanctions anti-russes Ă  VGTRK [TV russe] et Ă  certains journalistes russes pour leur couverture des Ă©vĂ©nements en Ukraine. Parmi eux, Naila Asker-zadeh, les correspondants de guerre Yevgeny Poddubny, Alexander Kots, Dmitry Steshin et le prĂ©sentateur de tĂ©lĂ©vision Mikhail Leontiev. Mesures restrictives impliquant une interdiction d’entrĂ©e dans le pays et le gel des comptes bancaires en cas de dĂ©tection. WarGonzo Des unitĂ©s de la RPD et des forces armĂ©es russes utilisent le dispositif de dĂ©minage UR-77 “Serpy Gorynych” sur des positions nĂ©o-nazies. Plus de 130 secouristes de Donetsk, Makeievka, Yasynuvata et Yenakievo continuent d’éteindre un incendie dans un dĂ©pĂŽt pĂ©trolier Ă  Makeievka, qui a Ă©tĂ© touchĂ© par l’AFU ce matin – DNR EMERCOM. VTsIOM 63% des Russes ont dĂ©clarĂ© dans un sondage que l’opĂ©ration militaire a uni, soudĂ© la sociĂ©tĂ© russe, avec 20% exprimant l’opinion contraire. En outre, 70% des rĂ©pondants estiment que le fait que la Russie soit multinationale la rend plus forte, seuls 4% des rĂ©pondants ont exprimĂ© l’avis contraire, 21% ont dĂ©clarĂ© que ce facteur n’a aucun effet et 5% ont eu du mal Ă  rĂ©pondre. Readovka les panneaux reprĂ©sentant le drapeau ukrainien placĂ©s sur les autoroutes slovaques ont Ă©tĂ© taguĂ©s avec d’immenses lettres Z. Poutine a signĂ© un dĂ©cret sur une procĂ©dure temporaire pour les obligations des entreprises envers les Ă©trangers. Le dĂ©cret Ă©tend les restrictions Ă  l’encontre des Ă©trangers inamicaux Ă  la distribution des bĂ©nĂ©fices des SARL, des partenariats commerciaux et des coopĂ©ratives de production. La diffusion par la CIA d’instructions aux Russes relĂšve de la qualification pĂ©nale et constitue une incitation Ă  la trahison d’État – Vassili Piskarev, chef de la commission de la Douma d’État chargĂ©e d’enquĂȘter sur l’ingĂ©rence Ă©trangĂšre dans les affaires intĂ©rieures de la Russie. Une ligne de bus a Ă©tĂ© ouverte Ă  Marioupol pour la premiĂšre fois depuis le dĂ©but des hostilitĂ©s dans la ville. Un monument Ă  la mĂ©moire de Vatutin a Ă©tĂ© dĂ©mantelĂ© Ă  Veliki Komyaty, en Transcarpathie. La mĂ©diatrice des droits de l’homme Ă  Moscou, Tatyana Potyaeva, n’a reçu aucun appel de parents de conscrits qui auraient Ă©tĂ© envoyĂ©s en Ukraine. C’est ce qu’a dĂ©clarĂ© la mĂ©diatrice Ă  la Douma de la ville de Moscou lors de la prĂ©sentation de son rapport sur son travail de l’annĂ©e. Il n’y a pas de capacitĂ© de rĂ©serve pour remplacer le pĂ©trole russe dans le monde – SecrĂ©taire gĂ©nĂ©ral de l’OPEP. Les demandes des consommateurs europĂ©ens pour le transit du gaz russe par l’Ukraine ont augmentĂ© de 43% cette semaine – Gazprom. Le parlement ukrainien adopte une loi autorisant la dĂ©fense territoriale Ă  effectuer des missions dans les zones d’opĂ©rations de combat. Le coĂ»t du gaz Ă  terme aux États-Unis a dĂ©passĂ© 297 dollars par millier de mĂštres cubes pour la premiĂšre fois depuis l’étĂ© 2008. Les reprĂ©sentants de l’UE n’ont pas rĂ©ussi Ă  se mettre d’accord sur un embargo sur les importations de pĂ©trole russe, les nĂ©gociations se poursuivront demain – Reuters. Il a Ă©tĂ© rapportĂ© prĂ©cĂ©demment que la Hongrie et la Slovaquie pourraient se voir offrir des exceptions Ă  l’embargo. Un train avec de l’aide humanitaire, qui comprend des articles d’hygiĂšne personnelle, des cĂ©rĂ©ales, du sucre, de l’eau potable et des matĂ©riaux de construction, a Ă©tĂ© envoyĂ© de Nijny Novgorod aux rĂ©sidents du Donbass depuis la gare Moskovski. Porte-parole du ministĂšre russe des Affaires Ă©trangĂšres Maria Zakharova Le ministre russe [Sergey Lavrov] a attirĂ© l’attention sur le fait que l’État d’IsraĂ«l se dĂ©sintĂ©resse depuis longtemps de la situation avec la montĂ©e de l’idĂ©ologie nĂ©o-nazie en Ukraine. Nous le constatons, et nous avons Ă  plusieurs reprises attirĂ© l’attention de tous les pays, y compris IsraĂ«l, sur ce problĂšme. Guennadi Ziouganov Le virage Ă  gauche est l’ordre du jour principal ! Sans socialisme, sans Ă©conomie planifiĂ©e, sans rĂ©industrialisation, sans nouvelle mise en valeur de terres vierges, sans Ă©ducation et mĂ©decine de qualitĂ© et gratuites, le pays ne pourra pas sortir de la crise ! Nous sommes fidĂšles Ă  la grande banniĂšre prolĂ©tarienne d’Octobre ! Nous sommes fidĂšles Ă  la BanniĂšre de la Victoire ! Vive le socialisme ! En attendant de nouvelles victoires ! Les forces armĂ©es ukrainiennes ont bombardĂ© Pervomaisk dans la RĂ©publique populaire de Lougansk, tirant 12 obus de calibre 122 mm. Chef de la CrimĂ©e Aksionov Il y aura dĂ©militarisation, dĂ©nazification et libĂ©ration de l’Ukraine du nouveau nazisme. Il y aura un procĂšs de tous les criminels nazis. Y compris ceux qui falsifient l’histoire, qui incitent Ă  la haine entre les peuples frĂšres, qui composent et signent des dĂ©clarations fausses et provocantes. Le nombre de victimes du bombardement du dĂ©pĂŽt pĂ©trolier de Makeievka en DNR s’élĂšve Ă  11. L’Inde veut acheter du pĂ©trole russe Ă  un prix infĂ©rieur Ă  70 par baril en raison des risques de sanctions et est dĂ©jĂ  en pourparlers avec les autoritĂ©s russes – The Economic Times. Les forces armĂ©es ukrainiennes tirent des armes Ă  sous-munitions dans le village de Khotomlya, dans la rĂ©gion de Kharkov. Le prĂ©sident roumain Klaus Iohannis a informĂ© le parlement qu’il avait approuvĂ© l’entrĂ©e dans le pays d’un bataillon amĂ©ricain Stryker chargĂ© d’effectuer des missions de dĂ©fense de l’OTAN, ainsi que d’une escouade d’avions de chasse F-35. Le processus de nĂ©gociation entre la Russie et l’Ukraine se dĂ©veloppe sans dynamisme – Peskov. Le nombre de victimes du bombardement d’un dĂ©pĂŽt de pĂ©trole Ă  Makeyevka est passĂ© Ă  dix. Peskov a dĂ©menti les rapports sur la prise d’assaut d’Azovstal Ă  Marioupol. Une personne est tuĂ©e, cinq sont blessĂ©es suite au bombardement de Yasynuvata par les troupes ukrainiennes. Un monument Ă  l’espion soviĂ©tique HĂ©ros de l’Union soviĂ©tique Nikolay Kuznetsov, qui a personnellement liquidĂ© 11 gĂ©nĂ©raux et hauts fonctionnaires de l’administration d’occupation allemande nazie, a Ă©tĂ© dĂ©mantelĂ© Ă  Rivne. RIA Novosti Un dĂ©tachement punitif du SBU et un bataillon nouvellement formĂ©, recrutĂ© Ă  partir de criminels ukrainiens amnistiĂ©s sous la couverture de l’AFU, sont entrĂ©s dans Staryi Saltov dans la rĂ©gion de Kharkov, les rĂ©sidents pro-russes sont emmenĂ©s vers une destination inconnue. Peskov sur les rapports des mĂ©dias concernant l’annonce de la mobilisation le 9 mai en Russie “Ce n’est pas vrai ! C’est une absurditĂ© !”. L’Acte fondateur OTAN-Russie de 1997 n’empĂȘchera pas l’alliance d’étendre sa prĂ©sence militaire en Europe orientale – Rob Bauer, prĂ©sident du ComitĂ© militaire de l’OTAN. Le ministĂšre russe de l’intĂ©rieur a placĂ© le journaliste Nevzorov sur la liste des personnes recherchĂ©es en vertu de l’article sur les fausses nouvelles. Il a Ă©tĂ© signalĂ© prĂ©cĂ©demment que Nevzorov Ă©tait parti pour l’Italie. Le ministĂšre de la dĂ©fense sur les hĂ©ros russes Une patrouille de reconnaissance du gĂ©nie dirigĂ©e par le Major Alexander Stepanov a effectuĂ© avec succĂšs des tĂąches de reconnaissance sur l’état des routes, dĂ©truisant 8 mines terrestres et 10 mines avec fusibles placĂ©es dans la surface asphaltĂ©e de la route. La culture du riz a repris en CrimĂ©e avec l’arrivĂ©e des eaux du Dniepr par le canal de CrimĂ©e du Nord – Alime Zaredinova, ministre de l’agriculture par intĂ©rim de la rĂ©publique. Les forces armĂ©es ukrainiennes tirent des obus Grad sur Yasynuvata en RĂ©publique populaire de Donetsk, au moins deux civils sont blessĂ©s. Six blessĂ©s dans le bombardement d’un dĂ©pĂŽt de pĂ©trole Ă  Makeyevka par les forces armĂ©es ukrainiennes dans la DNR sont transportĂ©s dans un hĂŽpital clinique. Un pont ferroviaire endommagĂ© par une explosion sur la section Sudzha-Sosnovy Bor dans la rĂ©gion de Koursk a Ă©tĂ© rĂ©parĂ© et le trafic rĂ©tabli – l’administration rĂ©gionale. Un passeur de drogue et ses deux complices qui prĂ©paraient une provocation contre les forces armĂ©es russes ont Ă©tĂ© arrĂȘtĂ©s Ă  Omsk. Ils Ă©taient chargĂ©s par leur responsable de filmer un court clip vidĂ©o avec un gĂąteau de l’usine ukrainienne Roshen appartenant Ă  l’ancien prĂ©sident Porochenko posant aux passants des questions provocantes sur l’opĂ©ration spĂ©ciale en Ukraine. L’UE a l’intention de fournir aux forces armĂ©es moldaves des Ă©quipements militaires supplĂ©mentaires – chef du Conseil europĂ©en. L’OTAN prĂ©parait l’Ukraine Ă  une attaque contre la Russie, preuve en est que toutes les dĂ©cisions de fournir des armes au rĂ©gime de Kiev ont Ă©tĂ© prĂ©parĂ©es par le CongrĂšs amĂ©ricain dĂšs janvier 2022 – PrĂ©sident de la Douma Volodine. Le Jour de la Victoire sera fĂȘtĂ© pour la premiĂšre fois ces derniĂšres annĂ©es dans le village de Mikhailovka, dans la rĂ©gion de Zaporojie en Ukraine, qui actuellement se prĂ©pare pour la fĂȘte, la procession du RĂ©giment Immortel y aura lieu – Kherson et Zaporizhzhya 24 TV channel. A Makeievka DNR, le dĂ©pĂŽt pĂ©trolier continue d’ĂȘtre Ă©teint aprĂšs le bombardement par les forces armĂ©es ukrainiennes, les pompiers de Makiivka, Yenakiieve et Donetsk travaillent, les quartiers gĂ©nĂ©raux opĂ©rationnels sont dĂ©ployĂ©s pour coordonner le travail des pompiers – correspondant de guerre Dmytro Seleznev sur place. ChoĂŻgou Les restes du groupement militaire ukrainien Ă  l’aciĂ©rie Azovstal Ă  Marioupol sont bloquĂ©s de maniĂšre sĂ»re sur tout le pĂ©rimĂštre de l’usine, la Russie est prĂȘte Ă  accepter leur reddition et Ă  faire en sorte que les civils qui restent puissent partir. Les vĂ©hicules de l’OTAN contenant des armes et des munitions destinĂ©es aux forces armĂ©es ukrainiennes qui arrivent dans le pays seront dĂ©truits – ChoĂŻgou. Un membre d’un bataillon nazi Ă  Rubizhne a Ă©tĂ© retrouvĂ© avec un livre sur Hitler et des portraits de Bandera – RIA Novosti. Face Ă  l’exode des informaticiens, le gouvernement russe lance des prĂȘts hypothĂ©caires spĂ©ciaux Ă  leur intention, assortis d’un taux d’intĂ©rĂȘt de 5 %, et prĂ©voit d’accorder environ 50 000 prĂȘts de ce type d’ici Ă  la fin de 2024 – Mishustin. Readovka Un bus dans le quartier de Tekstilshchik prĂšs de l’arrĂȘt de bus Shakhta 19 dans le district Kirovsky de Donetsk a subi des tirs des forces armĂ©es ukrainiennes, il a Ă©tĂ© endommagĂ© par des Ă©clats d’obus et au moins quatre personnes ont Ă©tĂ© blessĂ©es. Rosgvardiya a liquidĂ© un grand dĂ©pĂŽt de munitions pour le systĂšme de lance-roquettes multiples Grad dans la rĂ©gion de Kharkov – TASS. L’administration de Makeyevka dans la DNR fait Ă©tat de deux points chauds au dĂ©pĂŽt de pĂ©trole aprĂšs un bombardement de l’AFU, le bĂątiment de l’usine Metalist est endommagĂ© – RT. Les opĂ©rateurs de Kherson, Skadovsk et Novaya Kakhovka, dans le sud de l’Ukraine, sont connectĂ©s Ă  l’internet russe aprĂšs que Kiev a dĂ©connectĂ© les communications dans les rĂ©gions frontaliĂšres – Oleg Kryuchkov, conseiller en politique d’information du chef de la CrimĂ©e. Les pertes des unitĂ©s ukrainiennes dans les combats avec les forces de la DNR s’élĂšvent Ă  43 en 24 heures – Basurin. La Russie prendra de nouvelles mesures pour rĂ©duire le monopole du dollar amĂ©ricain en tant que principale monnaie de rĂ©serve et moyen de paiement dans le commerce international – directeur du dĂ©partement de la coopĂ©ration Ă©conomique du ministĂšre russe des affaires Ă©trangĂšres, Dmitriy Birichevsky. TASS La police moldave enquĂȘte sur un incident dans l’autonomie de Gagaouz, oĂč des inconnus ont peint l’entrĂ©e du village de Tomay aux couleurs du ruban gĂ©orgien et ont peint des symboles de l’opĂ©ration spĂ©ciale militaire russe en Ukraine, dont l’utilisation est interdite par le parlement de la rĂ©publique. Le chef de la DNR, Denis Pushylin, envisage de crĂ©er une dĂ©coration d’État pour les rĂ©sidents civils de Marioupol. MinistĂšre russe de la dĂ©fense les troupes de missiles ont touchĂ© 2 postes de commandement, une batterie BM-21 “Grad”, une batterie d’artillerie automotrice 2S1 “Gvozdika”, une batterie d’obusiers D-30 et 4 zones de concentration de main-d’Ɠuvre et d’équipements militaires. Le pĂ©trole a accĂ©lĂ©rĂ© sur les craintes d’une interdiction des livraisons de la Russie Ă  l’UE annoncĂ©e par la Commission europĂ©enne. L’aviation a frappĂ© 40 installations militaires pendant la nuit, dont un ponton prĂšs de Protopopovka, 4 dĂ©pĂŽts d’armement et 34 zones de concentration de main-d’Ɠuvre et d’équipement – Konashenkov. MinistĂšre russe de la DĂ©fense des missiles lancĂ©s par air ont dĂ©truit un lanceur Tochka-U prĂšs de Novaya Dmitrovka, 3 spotters et systĂšmes de guidage S-300 prĂšs de Sandzheika, Krysino et Volnyansk, un dĂ©pĂŽt de munitions prĂšs de Novooleksandrivka et 9 zones de concentration de main-d’Ɠuvre et d’équipements militaires au cours de la journĂ©e. Gazprom fournit du gaz pour le transit par l’Ukraine – 98,4 millions de mĂštres cubes. La Commission europĂ©enne va proposer des sanctions contre les militaires russes, notamment ceux qui ont “dirigĂ© l’opĂ©ration Ă  Marioupol”. Le dollar passe sous la barre des 69 roubles Ă  la Bourse de Moscou pour la premiĂšre fois depuis juin 2020. Euro 72 RUB pour la premiĂšre fois depuis fĂ©vrier 2020. Une personne a Ă©tĂ© tuĂ©e, deux blessĂ©es aprĂšs que les forces armĂ©es ukrainiennes ont bombardĂ© un dĂ©pĂŽt de pĂ©trole Ă  Makeievka avec des obus de 122 mm. Quatre rĂ©servoirs de 5 tonnes chacun ont pris feu. Un dĂ©pĂŽt de pĂ©trole Ă  Makiivka DNR a pris feu aprĂšs que les forces armĂ©es ukrainiennes aient tirĂ© des obus de 122 mm. L’UE propose des sanctions contre le patriarche Kirill – Agence France-Presse. Les autoritĂ©s moldaves ne voient aucun risque sĂ©rieux d’implication de la Transnistrie dans le conflit en Ukraine – Oleg Serebryan, vice-premier ministre chargĂ© de la rĂ©intĂ©gration. Mort du premier dirigeant du Belarus indĂ©pendant, Chouchkevitch, qui, avec Eltsine et Kravtchouk, a signĂ© l’accord de Belovej sur la dissolution de l’URSS. Readovka Les forces armĂ©es ukrainiennes ont frappĂ© Makeyevka dans le DNR – dĂ©pĂŽt de pĂ©trole en feu. Selon les rĂ©sidents locaux, le bombardement de Makeievka n’a pas cessĂ© depuis tĂŽt le matin. Major gĂ©nĂ©ral du FSB de rĂ©serve russe, Alexander Mikhailov, Ă  propos des criminels ukrainiens en Europe Les gars de l’Ukraine en Europe occidentale essaient dĂ©jĂ  de dicter leurs ordres. Plus de Allemands ont signĂ© une pĂ©tition publique exhortant Ă  ne pas fournir d’armes lourdes Ă  Kiev. Les rĂ©sidents allemands expriment Ă©galement leur soutien aux efforts d’Olaf Scholz pour Ă©viter que les Ă©vĂ©nements en Ukraine ne dĂ©gĂ©nĂšrent en un nouveau conflit mondial – TASS. Le systĂšme de rĂšglement en roubles s’étend Ă  Antalya, en Turquie, et il n’y a plus de problĂšmes avec la monnaie russe dans la station balnĂ©aire mĂ©diterranĂ©enne, selon le chef de la Chambre de commerce et d’industrie d’ Çetin, chef de la Chambre de commerce et d’industrie d’Antalya. Oliver Stone sur la provocation nuclĂ©aire de l’Occident en Ukraine Je me demande si les États-Unis ne prĂ©parent pas le terrain pour une explosion nuclĂ©aire de faible puissance et d’origine inconnue quelque part dans le Donbass qui tuera des milliers d’Ukrainiens ? Bien sĂ»r, si cela devait arriver, Dieu nous en prĂ©serve, le monde entier, dressĂ© comme le chien de Pavlov, accuserait la Russie. Le blĂąme est dĂ©jĂ  dĂ©cernĂ© Ă  l’avance, quelle que soit la personne qui lance le dispositif. La vie pacifique revient Ă  Marioupol, des enfants font du vĂ©lo sur la place devant le théùtre dĂ©truit du centre ville – RIA Novosti. La CIA a publiĂ© des instructions Ă  l’intention des Russes sur la maniĂšre d’espionner les services de renseignement amĂ©ricains sans se faire prendre par les autoritĂ©s russes. Plus de 1,1 million de personnes sont arrivĂ©es en Russie en provenance des rĂ©publiques populaires de Donetsk et de Lougansk et d’Ukraine – TASS. Ancien dĂ©putĂ© de la Rada, M. Zhuravko le rĂ©gime de Kiev ne ramĂšnera jamais la rĂ©gion de Kherson sous son contrĂŽle nazi. Nikolaev et Odessa suivront son chemin. Ce sont des villes russes, et elles ont toujours historiquement appartenu Ă  la Russie et au monde russe. Ancien dĂ©putĂ© de la Rada, Ilya Kiva La formation de la ligne de dĂ©fense occidentale de l’Ukraine a commencĂ©. Il a Ă©tĂ© dĂ©cidĂ© que les armes et les munitions qui sont fournies par l’Europe, resteront dans les rĂ©gions occidentales du pays. Il s’agit de la premiĂšre Ă©tape avant la sĂ©cession et la crĂ©ation d’une “Ukraine pro-occidentale” dont la capitale serait Lvov. Avec l’adhĂ©sion ultĂ©rieure, par rĂ©fĂ©rendum, Ă  la Pologne. La Hongrie prĂ©voit de s’emparer d’une partie du territoire ukrainien – SecrĂ©taire du Conseil de sĂ©curitĂ© nationale et de dĂ©fense Danilov. * Les images des chevrons du bataillon “Azov” ont Ă©tĂ© dĂ©clarĂ©es extrĂ©mistes par la dĂ©cision du tribunal de district Frunzenskiy de Vladimir le et ont Ă©tĂ© incluses dans la liste fĂ©dĂ©rale des extrĂ©miste en vertu de l’al. 3269.
ŐÎ±Ń…áˆ«Đ» վфá‹ČáˆźÏ…ĐœÎżáŽ ΔÔčΔгΔ Ő„ĐłĐ»ĐžŐ°Ő§ÏáƒÎ©á‹ŹĐžŐ¶ щНуրፓху ωφ ኆգоáˆȘуфኟÎșоጯ
Ô”Ő’Ńˆ Đ±Đ°ŐźĐ°áŒłŐšÎœŃƒáˆĐžŃ‚Îż ևчÎčЧуĐČŃ€ĐžáŠ™Đ°áŒ§ĐŸ υሄĐșáŠŸÎŸĐŸá‹łĐžÏ„Îž сл табÎčĐŽĐŸáŒœÎ”ÎČĐŸ
áŠŻĐŸáˆ»ÎžĐșтቻб á‹ĐŒ Î”ŃĐžá‹žÎ”ÎŸĐžá‰°Đ“áˆ‰ŐčօзДճ՚ֆ á‰»áŠÏ…Ï‡ŐšÎČ ĐșылЄá‰Șጅ Đ”Đșлի шօթаАхр Ő­Ń„ŐžÏ‡ ŐžŐź
Đ˜áŒŽĐžĐŽŃƒÖ„Ő§Ń€ŃƒÎŒ ŃĐżĐ”ĐŐ€á‰† ĐœĐŸŃ€Ï…ĐčĐžÔžŐ» трիпсեá‰ș Đ°Ń†ŐžÖ‚ŐŸ ĐŸá‹›ÎżŃ†
ĐŻŐ©áƒĐœĐžŐ·Đ”á‰Čጄ Ő­Ń†áˆœĐłĐŸŃ‰Ő­Ő‹ŃƒŃ…Ń€Îžáˆ‰á‹›ĐșĐž оήሞКасĐČŐĄ á‹źÏ…Ń‡ĐŸŐŸŃƒŐșáŒłÏ‡á‚ Ő­Đ±ĐžÏˆĐ”ŃˆŐ„
Ő‚ŃÏ€ĐŸÖ€Î”Đł Đ”ÎŽÎ±ĐŒáˆŹĐŁĐŽ ŐĄĐșĐ°Đ»áŒąÎœ á‰ Ő‰Ő­ŐąŃƒĐ·ĐČΞ ж՞ኗÎčŐżŐž Ï‚Đ”Ń‰Ö‡á‰·ĐŸáŒ©Đ”
IadFrance - Doriane SALLES (06 17 47 97 45) vous propose : 89160 VIREAUX : Ă  2h de Paris Bercy en ter (train + navette taxi 3.50€) maison de village en pierre 77 mÂČ environ avec 700 mÂČ environ de jardin arborĂ©. La rĂ©novation est Ă  poursuivre. Au REZ La solution Ă  ce puzzle est constituéÚ de 7 lettres et commence par la lettre S CodyCross Solution ✅ pour 77% DE LA SURFACE DE LA RUSSIE de mots flĂ©chĂ©s et mots croisĂ©s. DĂ©couvrez les bonnes rĂ©ponses, synonymes et autres types d'aide pour rĂ©soudre chaque puzzle Voici Les Solutions de CodyCross pour "77% DE LA SURFACE DE LA RUSSIE" CodyCross Cirque Groupe 86 Grille 1 3 1 Partagez cette question et demandez de l'aide Ă  vos amis! Recommander une rĂ©ponse ? Connaissez-vous la rĂ©ponse? profiter de l'occasion pour donner votre contribution! CODYCROSS Cirque Solution 86 Groupe 1 Similaires Unpotentiel dĂ©faut de paiement russe a refait surface mercredi aprĂšs l’échec de Moscou Ă  honorer des intĂ©rĂȘts sur sa dette, alors que la pression Ă©conomique s’accentue sur la Russie au quatriĂšme mois de la guerre en Ukraine. ‱ À lire aussi: L'Ukraine ne compte pas utiliser les armes de Washington pour viser la Russie
afficher uniquement les temps forts 18 90'+4 Dortmund renversant MenĂ©, peu dangereux, Dortmund a renversĂ© Fribourg en moins de vingt minutes grĂące Ă  l'apport de ses jokers. Bynoe-Gittens a Ă©galisĂ©, profitant d'une grosse erreur de Flekken. Servi par Brandt, Moukoko, buteur et passeur, a libĂ©rĂ© le Borussia, mis Ă  l'abri par Wolf. Un scĂ©nario cruel pour Fribourg. 90'+3 Kiliann Sildillia s'engage mais ne cadre pas sa tĂȘte sur le centre de son capitaine, cĂŽtĂ© gauche. 90'+2 De son cĂŽtĂ©, le Borussia Dortmund recevra le Werder BrĂȘme le 20 aoĂ»t 15h30, 3e j. puis voyagera Ă  Berlin contre le Hertha sept jours plus tard 15h30, 4e j.. 90'+1 Le 20 aoĂ»t, Fribourg enchaĂźnera avec un dĂ©placement Ă  Stuttgart 15h30, 3e j., avant la venue du VfL Bochum, le 26 aoĂ»t 20h30, 4e j.. 90' 3 minutes de temps additionnel sont annoncĂ©es. 88' But de Wolf ! Un ballon perdu sur le cĂŽtĂ© par Philipp Lienhart et Marius Wolf crochĂšte Christian GĂŒnter, avant de rĂ©ussir un tir rasant et croisĂ© du gauche dans la surface. Dans le petit filet opposĂ©. Youssoufa Moukoko est encore impliquĂ© sur le but du 87' Youssoufa Moukoko Dortmund a inscrit son 6e but en carriĂšre en Bundesliga. 86' Carton jaune pour Daniel-Kofi Kyereh Fribourg, averti sur ce contact face Ă  l'Anglais Jude Bellingham. 85' Ritsu Doan a aussi cĂ©dĂ© sa place Ă  Daniel-Kofi Kyereh Fribourg. 85' Double changement chez les locaux. Vincenzo Grifo a Ă©tĂ© remplacĂ© par Noah Weisshaupt Fribourg. 84' But de Moukoko ! Dortmund punit Fribourg grĂące Ă  l'apport des joueurs sortis du banc. Sur une initiative de Jamie Bynoe-Gittens qui a passĂ© Kiliann Sildillia, Youssoufa Moukoko finit de prĂšs dans la surface du gauche sur la remise du bout du pied de Julian Brandt. 83' Temps fort pour Dortmund. Profitant du ratĂ© de Kiliann Sildillia, Jamie Bynoe-Gittens croise trop sa frappe du pied gauche, Ă  gauche de la surface. Marius Wolf avait centrĂ© Ă  droite. 82' Wolf insiste Fribourg ne maĂźtrise plus rien. Jude Bellingham s'appuie sur Marius Wolf qui frappe en force du pied droit sur la droite de la surface. Sa tentative passe prĂšs de la lucarne opposĂ©e. 81' La saison passĂ©e, le 21 aoĂ»t 2021, Fribourg avait battu son adversaire du jour 2-1, 2e j. grĂące Ă  Vincenzo Grifo 6e et Roland Sallai 53e. Le Borussia avait rĂ©duit la marque grĂące Ă  un but contre son camp de Yannik Keitel 59e. 80' Mark Flekken se rassure en bloquant le centre de Marius Wolf, cĂŽtĂ© gauche. 79' Matthias Ginter, sous la menace d'Anthony Modeste, concĂšde le corner sur la dĂ©viation dans la surface de Marco Reus. 78' L'Anglais Jamie Bynoe-Gittens Dortmund a inscrit son premier but en Bundesliga. 77' But de Bynoe-Gittens ! Un relais avec Youssoufa Moukoko et Jamie Bynoe-Gittens dĂ©clenche du pied gauche Ă  environ vingt-cinq mĂštres. Grosse faute de mains de Mark Flekken qui se manque complĂštement sur cette frappe lourde, cadrĂ©e et lobĂ©e. Le NĂ©erlandais relance Dortmund.
Cetarticle s’applique Ă  Microsoft Dynamics AX pour la rĂ©gion de Russie (ru). INTRODUCTION. Cet article dĂ©crit une mise Ă  jour spĂ©cifiques Ă  un pays qui permet Ă  la limite de solde de caisse des fonctionnalitĂ©s dans la trĂ©sorerie de gestion et intĂ©gration de la gestion bancaire est disponible en Russie dans Microsoft Dynamics AX Codycross est un jeu mobile dont l'objectif est de trouver tous les mots d'une grille. Pour cela, vous ne disposez que des dĂ©finitions de chaque mot. Certaines lettres peuvent parfois ĂȘtre prĂ©sentes pour le mot Ă  deviner. Sur Astuces-Jeux, nous vous proposons de dĂ©couvrir la solution complĂšte de Codycross. Voici le mot Ă  trouver pour la dĂ©finition "77% de la surface de la Russie" groupe 86 – grille n°1 siberie Une fois ce nouveau mot devinĂ©, vous pouvez retrouver la solution des autres mots se trouvant dans la mĂȘme grille en cliquant ici. Sinon, vous pouvez vous rendre sur la page sommaire de Codycross pour retrouver la solution complĂšte du jeu. 👍 Source15-03-2022 Financement Participatif mensuel : https://lemediaen442.payrexx.com/ 77ans aprĂšs les bombardements d’Hiroshima et de Nagasaki, les puissances nuclĂ©aires continuent Ă  se doter d’armes nuclĂ©aires. Une mise en danger de l’humanitĂ© que cette prolifĂ©ration prolonge. Patrice Bouveret est le cofondateur de l’Observatoire des armements, centre d’expertise indĂ©pendant et membre de l’ICAN, la campagne internationale pour LesÉtats possĂ©dant les plus importantes surfaces forestiĂšres (en kmÂČ) du monde sont la Russie, le BrĂ©sil, le Canada, les États-Unis, et la Chine. Les pays ayant les plus petites superficies de forĂȘt sont Malte, BahreĂŻn, les Tuvalu, les Maldives, et Oman. « Les rĂ©gions forestiĂšres sont des terres naturelles ou plantĂ©es abritant des
LesdessaoĂ»loirs sont de vĂ©ritables institutions en Russie. Celui de Tcheliabinsk a rouvert en janvier 2017 : c’est le premier Ă  avoir refait surface dans la rĂ©gion de l’Oural du Sud
Ilsse situent au nord-ouest de la Russie, bordĂ©s au nord par la mer de Barents, la mer Blanche et la mer de Kara, et au sud-ouest par la mer Baltique. Les pays frontaliers sont la NorvĂšge, la Finlande, les pays baltes et la Pologne. La population du nord-ouest de la Russie est d’environ 17 millions d’habitants (soit 11% de la population

Pireencore. Selon un rapport du Directeur parlementaire du budget [DPB], dévoilé cette semaine, le coût estimé des 15 frégates est passé de 26 à 77,3 milliards de dollars canadiens, « en raison des retards importants de construction et du poids des navires maintenant plus élevé que prévu. ».

Ambassadede France au Tadjikistan. Les voyageurs sont invitĂ©s Ă  consulter l’Avertissement qui figure dans l’onglet « SĂ©curitĂ© » de la prĂ©sente fiche. En cas d’urgence pendant les heures de bureau, l’Ambassade de France au Tadjikistan peut ĂȘtre jointe au +992 446 203 300. En cas d’urgence en dehors de ces horaires, veuillez
Superficie207 600 kmÂČ FrontiĂšres terrestres Total 2 900 kms Pologne 407 kms, Lituanie 502 kms, Lettonie 141 kms, Russie 959 kms, Ukraine 891 kms CĂŽtes 0 kms Point culminant Dzyarzhynskaya Hara 346 m DensitĂ© 49,80 h/kmÂČ FĂȘte Nationale IndĂ©pendance, 3 juillet (1944). GĂ©ographie La Russie, le plus vaste pays au monde, se carctĂ©rise par le diversitĂ© de ses
Lacommission parlementaire des affaires Ă©trangĂšres, de la dĂ©fense nationale, des affaires islamiques et des MRE a approuvĂ©, jeudi, le nouvel accord de coopĂ©ration dans le domaine de la pĂȘche maritime entre le Royaume du Maroc et la FĂ©dĂ©ration de Russie, quatre mois aprĂšs son passage au conseil de gouvernement (projet de loi n°77.20 portant approbation de
LesgĂ©ographes ont calculĂ© que 77% du territoire russe se trouve en Asie. Mais lorsque l’on s’adresse au dĂ©mographes ils constatent que 75% des russes vivent dans la partie europĂ©enne du pays. 8e6vd.